« Le Seigneur est ma lumière et mon salut, qui craindrai-je ? […] cette visite n’est pas sans cause : c’est l’ouvrier même qui vient en personne pour reconnaître ce qui manque à son édifice ; c’est qu’il a dessein de le reformer suivant son premier modèle1 O âme remplie de crimes, tu crains avec raison l’immortalité qui rendrait ta mort éternelle ! […] Leur élévation en est la cause, et il les épargne si peu qu’il ne craint pas de les sacrifier à l’instruction du reste des hommes.
Mais je les crains peu, et je saurai sacrifier ma vie pour arriver au but glorieux qui m’est proposé, pour remplir jusqu’à la fin le ministère sacré de la parole divine.