« Il faut voir dans Montluc le tableau de la bataille de Ver pour prendre une juste idée du soldat et de l’écrivain, de ce courage que rien n’ébranle, de ce style qui ne bronche jamais. » (Géruzez, Hist. de la litt.
Elle eut l’âme triste ainsi que son frère, mais cette mélancolie n’avait rien d’énervant ; le courage fut ici du côté de la faiblesse, et ces soupirs d’un cœur mystique se concilient avec un bon sens prudent qui sut prendre pied sur terre, tout en ayant les yeux fixés vers la patrie de l’idéal.