Leurs côtés revêtus, leurs entrailles3 rafraîchies, leurs forces rassasiées vous auraient béni. […] » La mort C’est une étrange faiblesse de l’esprit humain que jamais la mort ne lui soit présente, quoiqu’elle se mette en vue de tous côtés, et en mille formes diverses1. […] Comme un arbre que le vent semble caresser en se jouant avec ses feuilles et avec ses branches : bien que ce vent ne le flatte qu’en l’agitant, et le jette tantôt d’un côté, tantôt d’un autre, avec une grande inconstance, vous diriez toutefois que l’arbre s’égaye par la liberté de son mouvement.

A ma table, partout, à mes côtés assis2, Je prétends vous traiter comme mon propre fils3. […] Car2, D’un côté, le crédit du défunt m’épouvante ; Et, de l’autre côté, l’éloquence éclatante De maître Petit-Jean m’éblouit.