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147. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374

Le troisième est de Saint-Lambert, qui décrit en poète, et qui a toujours un but moral dans ses descriptions. […] On doit s’y proposer un seul but ; et tous les moyens qu’on emploie, tous les efforts qu’on fait, doivent tendre à ce but. […] Le dialogue doit toujours tendre à son but ; de manière que les interlocuteurs ne disent rien qui n’ait un rapport direct à l’action. […] Ainsi dans ces circonstances mêmes le dialogue tend à son but. […] Quel étoit donc ton but ?

148. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239

On ne se contente pas de la simple raison, des grâces naïves, du sentiment le plus vif, qui l’ont la persuasion réelle ; on va au delà du but par amour-propre. » Lettre à MM. de l’Académie française.

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