Ainsi, il sert à composer de fort belles odes, des sonnets, et plus ordinairement des épîtres, des contes et des épigrammes. […] Ma sœur, qu’ils étaient beaux ces jours De France ! […] Je ne t’envierai pas ce beau titre d’honneur. […] Telles sont les rimes des beaux vers que Boileau met dans la bouche de la Mollesse pour faire l’éloge de Louis XIV : Hélas ! […] Cette combinaison, qui est très belle et très harmonieuse, a été souvent employée par nos poètes, surtout par Malherbe et par Rousseau.
N’est beau que, etc.] […] « Ce sont des idées du beau puisées dans l’observation, et uniquement relatives à la constitution de nos organes physiques ou à notre capacité morale.