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129. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225

L’air, qui gémit du cri de l’horrible déesse, Va jusque dans Cîteaux réveiller la Mollesse 3 C’est la qu’en un dortoir elle fait son séjour ; Les Plaisirs nonchalants folâtrent à l’entour. […] Dans son hardi projet toutefois il s’obstine, Lorsque des flancs poudreux de la vaste machine L’oiseau sort en courroux, et, d’un cri menaçant, Achève d’étonner le barbier frémissant : De ses ailes dans l’air secouant la poussière, Dans la main de Boirude il éteint la lumière.

130. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55

Tu es donc, marquis, de ces messieurs du bel air qui ne veulent pas que le parterre ait du sens commun, et qui seraient fâchés d’avoir ri avec lui, fût-ce de la meilleure chose du monde ? […] Veut dire : Trouvent qu’il est du bel air de… 2.

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