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37. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90

La scène retentit encore des acclamations qu’excitèrent a leur naissance le Cid, Horace, Cinna, Pompée, tous ces chefs-d’œuvre représentés depuis sur tant de théâtres, traduits en tant de langues, et qui vivront à jamais dans la bouche des hommes. […] Le même siècle qui se glorifie aujourd’hui d’avoir produit Auguste ne se glorifie guère moins d’avoir produit Horace et Virgile. […] On sait que Racine disait à son fils, en lui développant les beautés du Cid et d’Horace : « Corneille fait des vers cent fois plus beaux que les miens. » Il est certain que nul n’a égalé les plus beaux vers de Corneille.

38. (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français

La réponse du vieil Horace est le sublime de cette éloquence. […] Chimène, Horace, Émilie, Polyeucte, Hermione, Mithridate, Agrippine, Phèdre, Joad, ne sont-ils pas dans toutes les mémoires ? […] Le brillant dilemme du vieil Horace défendant son fils pèche par un vice de ce genre. […] Horace, acte II, sc. […] Id., Horace, acte IV, sc.

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