En 1815 parut « la Poétique d’Aristote, traduite par Joseph Chénier, avec le texte en regard », suivie d’une traduction en vers français de l’Art poétique d’Horace.
Vous me faites plaisir de me rendre compte des lectures que vous faites ; mais je vous exhorte à ne pas donner toute votre attention aux poètes français : songez qu’ils ne doivent servir qu’à votre récréation, et non pas à votre véritable étude ; ainsi je souhaiterais que vous prissiez quelquefois plaisir à m’entretenir d’Horace, de Quintilien, et des autres auteurs de cette nature.