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141. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179

On remarque la même faute dans ces vers de Voltaire : Reine, l’excès des maux où la France est livrée, Est d’autant plus affreux, que leur source est sacrée. […] Toujours redoutée, il ne lui manquait (à la France) que d’être aimée. […] Je vous ai vu, en lisant l’histoire de France, ne signifie pas la même chose que, je vous ai vu lisant l’histoire de France. […] Après les relatifs qui, que, dont, précédés d’un superlatif relatif, le verbe doit être mis au subjonctif : = Racine est le poète le plus élégant, que la France ait produit, et Corneille le plus sublime dont elle puisse se glorifier.

142. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bossuet 1627-1704 » pp. 65-83

Bossuet 1627-1704 [Notice] Né à Dijon, dans une ville qui donna saint Bernard à la France, Jacques-Bénigne Bossuet fut promis à l’Église des le berceau. […] Sens énergique, mais un peu vieilli, que nous retrouvons dans ce vers : Adieu, plaisant pays de France.

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