Démosthène qui faisait ainsi est par la même, de l’avis de Fénelon, supérieur à Cicéron qui cherche parfois à briller.
Le dix-septième siècle, si poli et si solennel, devait mieux comprendre la littérature latine que la littérature grecque, mieux sentir Virgile qu’Homère, mieux apprécier Cicéron que Démosthène. […] Cicéron, il s’en tait ; d’autant que l’on le crie Le pain quotidien de la pédanterie ; Quant à son jugement, il est plus que parfait, Et l’immortalité n’aime que ce qu’il fait.