Comme défauts dans la confirmation on peut recommander d’éviter : 1° le soin de prouver ce qui est évident ; 2° le souci d’épuiser une preuve suffisamment saisie par l’auditeur ; 3° la précaution de relever des détails futiles ou surabondants.
Et nous, hommes courageux, nous croyons être quilles envers la république si nous échappons aux fureurs de ce forcené, si nous évitons ses poignards !