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100. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

xx) « qu’il y a deux sortes d’exemples, l’un qui s’appuie sur des événements arrivés, l’autre sur de pures inventions, des paraboles, des fables, etc. […] Qu’il se pénètre bien à cet égard que tel moyen n’est bon, n’est excellent que relativement aux temps, aux lieux, aux événements, aux opinions et aux préjugés même de l’auditoire. […] Attendez-vous quelque événement ? […] On n’emploie ni les mêmes traits, ni le même coloris pour figurer un palais, un paysage, une bataille ou un incendie ; on ne fait pas, non plus, le récit d’un événement triste, comme d’une aventure gaie, le tableau d’un objet hideux, comme d’un objet aimable. […] Ce morceau s annonce par une touche sévère, bien convenable à l’événement qui se prépare, à la préoccupation des esprits.

101. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47

La vérité de tous les événements passés lui était parfaitement connue.

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