On serait tenté de croire que l’essor lyrique ne peut plus s’élever au-dessus de ces dernières images : le poète sacré va prouver le contraire, et de nouveaux personnages vont figurer encore dans son poème. […] Dieu s’élèvera contre eux, et les fera fuir bien loin : ils seront dissipés devant lui, comme la poussière que le vent enlève sur les montagnes, et comme un tourbillon de poudre, emporté par la tempête ».
Ou ne peut donc trop s’en occuper ; c’est même le seul moyen d’affermir, d’étendre et d’élever ses pensées ; plus on leur donnera de substance et de force par la méditation, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression. […] C’était la voix des bons principes qui s’élevait contre celle des principes mauvais ; c’était le cri de la Rhétorique alarmée qui s’échappait de consciences bourrelées par le remords.