On n’y disait pas toujours des madrigaux : c’est là qu’on écouta Malherbe dans ses dernières années, qu’on lut Balzac, qu’on admira Descartes, que le grand Condé pleura aux vers du grand Corneille 282 ; c’est là que Vaugelas recueillit pour la langue des exemples et des règles.
Écoutez maintenant le langage de la vraie philosophie, c’est-à-dire, de la raison et de la sensibilité.