Quelques dames et quelques jeunes gens de mes amis firent un jour avec moi la partie d’aller voir le tombeau de Jean-Jacques, à Ermenonville : c’était au mois de mai.
Rien n’est dit, rien n’est jugé ; il faut recommencer ; il faut aller au delà du crime comme il a fallu aller au delà de la loi ; il faut étudier l’homme lui-même, tout l’homme ; il est bien plus vaste, bien plus complexe que son action ; en lui se rencontrent je ne sais combien de dispositions, de facultés, d’idées, de sentiments dont elle ne donne pas la clef, qui n’en font pas moins partie de sa nature morale, et qu’il faut bien connaître, dont il faut bien tenir compte si on veut le juger d’après ce qu’il est réellement, et prononcer sur son caractère, sur sa personne, sur lui-même enfin avec équité.
Un jeune homme sensible, mais sans aucune connaissance, ne distingue point d’abord les parties d’un grand chœur de musique ; ses yeux ne distinguent point d’abord dans un tableau les gradations, le clair-obscur, la perspective, l’accord des couleurs, la correction du dessin ; mais peu à peu ses oreilles apprennent à entendre, et ses yeux à voir. […] Vous lui répondez, il réplique : vous avez un procès par écrit devant le public, qui condamne les deux parties au ridicule.
Et cependant ces trois parties sont si étroitement unies en réalité, qu’elles sembleraient ne devoir jamais être distinctes, même dans leurs applications les plus variées.
Communication, délibération, interrogation, subjection, ajoutant un intérêt plus vif au lieu énumération des parties : .
M. le duc de Berry s’achemina donc partie seul et quelquefois appuyé sur son épouse, madame de Saint-Simon avec eux et une poignée de gens.
C’est l’image des regrets affreux que l’on doit laisser après soi qui rend en partie la mort si amère ; ce sont les horreurs dont on a environné la mort qui rendent, à leur tour, les regrets des survivants si terribles1.
Ces deux qualités se retrouvent jusque dans la contexture de la phrase ample et abondante, où circule un souffle puissant qui en anime, en ordonne, en soutient toutes les parties.
L’art de bien décrire ce lieu est une partie considérable du mérite de la pastorale.
Il les déterminait uniquement par l’étendue de la voix humaine ; ce qui devait être ainsi, la prédication étant devenue la partie principale du culte, et presque tout le culte dans les temples qui ont vu cesser le sacrifice.
Loin donc de partager l’opinion que vous venez de soutenir, loin de croire, comme vous, que le théâtre est par état en opposition avec les mœurs, qu’il est le contre-pied de la société, et que, pour plaire au public, il ne doit pas du tout lui ressembler, je m’en tiens, je l’avoue, à l’ancienne opinion, et je chargerai vos comédies de réfuter en partie votre discours.
Ce qui comporte le sublime, ce n’est pas seulement ce que l’homme ne peut atteindre par sa nature, comme l’infini en étendue, en durée, en puissance ; mais encore et surtout ce qu’il ne peut atteindre qu’en se détachant tout à fait de sa partie animale et de son individualité, pour n’admettre que l’idée pure et le sentiment désintéressé.
Outre cet auteur et quelques autres que nous avons indiqués dans nos extraits de prose comme devant être consultés sur lui, nous signalerons La Harpe dans différentes parties de son Cours de littérature ; Ducis, discours de réception à l’Académie française (il y fut le successeur de Voltaire) ; Fontanes, discours préliminaire, celui qui précède sa traduction de l’Essai sur l’homme de Pope, etc.
Il convertit une partie de la Gaule.
C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent, Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent : Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu, Que le début, la fin, répondent au milieu ; Que d’un art délicat les pièces assorties N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ; Que jamais du sujet le discours s’écartant N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
En vous indiquant, mon cher ancien élève, ce petit nombre de livres de morale, je crois avoir rempli, du moins dans la partie la plus essentielle, l’objet de vos desirs.
8° On prend enfin, pour exprimer un sentiment, l’organe ou la partie du corps, qui en est considérée comme le siège. […] Elle consiste à prendre : 1° La partie pour le tout et réciproquement, comme : Le foyer rustique, pour la maison rustique ; Dix hivers, dix printemps, pour dix années ; Une tête chère, pour une personne chérie ; Le seuil, pour la maison ; Cent voiles, pour cent vaisseaux ; La Seine, pour la France (ce qui est aussi une métonymie) ; Un castor, pour un chapeau fait de poils de castor.
Peut être est-ce la partie de ses œuvres la plus sûre de ne pas périr.
. — Les Barbares détruisirent en partie ce vaste monument, dont on admire aujourd’hui les ruines gigantesques.