Ce mot est tout latin ; il veut dire l’infirmité. […] Forme latine… quod si… 1. […] Composée, du latin compositus, ordonné, réglé.
La tournure est toute latine ; cette forme a de la grâce. […] Les choses les plus communes, les plus triviales, et qu’il est même capable de penser, il veut les devoir aux anciens, aux Latins, aux Grecs. […] Le mot latin compendium signifie abrégé.
III), écrits en latin, et dont M. […] Ce verbe, dérivé du latin insequi, est aujourd’hui de peu d’usage.
Des vers latins adressés à Mazarin sur la paix des Pyrénées, des sermons qui eurent un succès mondain, et l’oraison funèbre de la duchesse de Montausier lui firent une réputation et lui ouvrirent les portes de l’Académie en 1675. […] Il a fait des vers fort heureusement2, il a réussi dans la prose : les savants ont été contents de son latin ; la cour a loué sa politesse.
Il succéda à son père dans le nouvel empire des Latins, que celui-ci avoit fondé en Italie, et bâtit la ville d’Albe, où il transféra le siége de son royaume.
Nous mentionnerons, chez les Grecs, Hésiode, qui nous a laissé les Travaux et les Jours et la Théogonie, et Aratus, auteur des Phénomènes célestes ; chez les Latins, Lucrèce, Virgile et Horace ; enfin, chez les modernes, Vida, Boileau, Dufresnoy, le Père Rapin, le cardinal de Polignac, Sanlecque, les Pères Vannière, Brumoi et Doissin, Louis Racine, le Père Boscovich, Pope, auteur de l’Essai sur l’homme et de l’Essai sur la critique, Rosset, Delille, Chênedollé. […] Les iambes, chez les Grecs et chez les Latins, étaient ordinairement d’usage dans le style mordant de la satire : Archilochum proprio rabies armavit iambo. […] Chez les Latins, nous mentionnerons Horace, qui nous a laissé des épîtres philosophiques remarquables. […] Quant au rythme, elle choisit de préférence le vers iambique en latin, et le vers libre en français.
Voy. parmi les Opuscules latins de Boettiger, p. 284 : Quid sit docere fabulam.
C’est ainsi qu’au xvie siècle, la Réforme, la Renaissance et les guerres d’Italie faillirent engloutir le français sous un déluge de locutions bibliques, grecques, latines, italiennes. […] Quintilien disait finement : Aliud latine, aliud grammatice loqui ; parler français et parler Vaugelas, ce sont deux choses.
Les rhéteurs les plus sensés de l’antiquité latine, Cicéron même et Quintilien, ont beaucoup trop multiplié les figures, et souvent ont donné ce nom à ce qui fait le fond de l’idée et n’a rien de figuré, c’est-à-dire rien qui s’écarte du langage ordinaire ou de l’expression propre. […] Je choisis en général mes exemples dans la langue latine, où ils sont beaucoup plus fréquents que dans la nôtre.
Harassée… Ce vieux mot paraît venir du verbe latin recrudescere dans le sens d’empirer. […] Sain, au dix-septième siècle, voulait dire, conformément à son étymologie latine, bien portant, en bonne santé.
Il erra pendant sept ans sur les mers, et aborda enfin en Italie, où il épousa Lavinie, fille du roi Latinus, et fonda un nouvel empire des Latins, qui fut le berceau de celui de Rome.
Le génie du poète consiste à atteindre cette force comique dont parlaient les anciens, et qui se trouve dans Aristophane chez les Grecs, dans Plaute chez les Latins, e dans Molière chez les Français. […] Latin. […] Latins.
Batteux, qui a traduit deux fois ce passage d’Aristote, s’est d’abord conformé pour le mot en question au latin de Budé (Les quatre Poétiques, t.
La Commission nommée, par arrêté du Gouvernement, le 27 frimaire an xi (27 octobre 1802), pour le choix des Livres classiques dans chaque classe de latin et dans celle des Belles-Lettres, et pour s’occuper de la réimpression des auteurs classiques, avait conseillé cet Ouvrage dans son rapport du 25 floréal an xi (15 mai 1803), rapport qui fut entièrement adopté par Sa Majesté Impériale et Royale.
Cet homme, qui après une longue étude des lettres françaises et surtout des latines, connaissait si bien toutes les finesses et toutes les beautés de l’art, est pourtant l’Orateur qui paraît les rechercher le moins. […] Muret prononça à Rome l’Oraison funèbre en latin de Charles IX. […] Ce prince de l’éloquence latine excelle dans les trois genres d’écrire. […] Les historiens latins sont pleins de ces sortes de discours que les généraux d’armée adressaient aux troupes, et qui sont de vrais modèles en ce génie d’éloquence. On en a donné un recueil sous le titre de Harangues choisies, tirées des historiens latins Salluste, Tite-Live, Tacite et Quinte-Curce : elles sont fort bien traduites.
Auteurs d’épîtres : Latins.
Il en eut aussi avecques luy deux aultres moindres en sçavoir, pour me suyvre et soulager le premier : ceulx cy ne m’entretenoient d’aultre langue que latine. […] Si par essay on me vouloit donner un theme, à la mode des colleges ; on le donne aux aultres en françois, mais à moy il me le falloit donner en mauvais latin, pour le tourner en bon. […] Il estoit grand orateur et fort disert, grand historien, et surtout très-divin poète latin. […] Pellisson lut deux fois en une nuit ses Mémoires, et goûta cette négligence molle et légère qui allonge et enchevêtre quelque peu la phrase d’incises à la manière latine (elle savait et parlait le latin) et de parenthèses s’arrêtant où elles peuvent, mais qui la relève toujours par une saillie de l’esprit ou du cœur. […] Dans sa phrase solide et pleine, dont la contexture rappelle la période latine, la pensée marche d’un mouvement serré et continu.
Sur ce point, nous ne pouvons que renvoyer aux traités spéciaux : Schneider, De Originibus tragœdiæ græcæ (Breslau, 1817) Grysar, De Doriensium Comœdia (Cologne, 1828) Meineke, livre cité Bœttiger, De quatuor Ætatibus rei scenicæ (p. 326 de ses Opuscules latins) Magnin, Origines du théâtre moderne Bode, Histoire de la poésie grecque, tome III (Leipzig, 1839-1840) Patin, Études sur les Tragiques grecs, tome I.
Φασί peut s’appliquer, comme aiunt et dicunt en latin, à des faits dont la certitude n’inspire aucun doute.