On retrouve, d’ailleurs, quelque chose de l’histoire de Ver-Vert dans ce que Buffon raconte d’un perroquet de Guinée.
D’ailleurs, ce ne sont point les opinions qui prennent les villes, ou gagnent les batailles.
Il est, effectivement, le plus difficile des trois, et d’ailleurs ses règles une fois bien conçues s’appliquent facilement aux deux autres, sauf quelques légères modifications. […] L’invention ne suppose qu’un jugement ordinaire ; l’art qu’exige la disposition est à la portée de tous, et d’ailleurs ces deux parties se rapportent à l’utilité de la cause ; mais l’élocution tourne à la gloire de l’orateur ; c’est par elle qu’il triomphe et entraîne la multitude même. […] Au propre, et pour les objets physiques, on nomme figure la disposition des parties extérieures d’un corps ; c’est par, elle que nous distinguons un objet d’un autre avec lequel il a d’ailleurs plus ou moins de ressemblance. […] L’effet de cette sorte d’ornements est incontestable ; le charme qu’ils répandent sur le discours est tel, que l’orateur qui sait bien les employer, quoique médiocre d’ailleurs, balance souvent la réputation de ceux qui, doués des autres qualités, ont trop négligé cette précieuse ressource. […] Ceci d’ailleurs est plutôt un objet de goût que de règles précises.
D’ailleurs, ce n’est pas son coup d’essai, allez ! […] 95Moi, si je me mêlais 96de composer quelque chose, 97je ne voudrais pas plus 98moi être cet homme-là, 99que vivre avec un nez difforme, 100 étant remarquable d’ailleurs 101par des yeux noirs. […] Et pourquoi se scandaliser, d’ailleurs, qu’il ait échappé à Horace une de ces fautes si bien excusées dans ces vers dont nous invoquerons pour lui le bénéfice ?
Si l’on peut dire goûter de tous les plaisirs, on ne dira pas également bien chercher et trouver de tous les plaisirs : c’est une de ces légères incorrections auxquelles fait allusion La Bruyère, mais qui sont d’ailleurs très-rares chez Mme de Maintenon, comme chez Mme de Sévigné.
On peut aussi rapprocher de cette pièce, en éloignant d’ailleurs toutes idée de comparaison, les Adieux d’un poëte à la vie, que renferment les Elégies de M.
Nous écarterons toute difficulté en acceptant ici, sans la louer ni la blâmer, cette division pratique, reçue généralement, et d’ailleurs assez commode, qui met d’abord les petites pièces anciennes fondées sur une disposition particulière des mots ou des rimes, comme le rondeau, la ballade, le sonnet, etc. ; ce sont là plutôt des formes particulières que des genres de poèmes, et qui appartiennent spécialement à notre vieille langue.
Si le sujet, d’ailleurs riche d’éléments tragiques, se refuse absolument à être renfermé dans ces limites resserrées, il vaut mieux passer outre que de l’écarter de la scène ou de le traiter d’une manière invraisemblable ou forcée. […] D’ailleurs, l’usage ne permettant pas aux femmes de monter sur le théâtre, il n’y avait pas de comédiennes : les rôles de femmes étaient joués par des hommes masqués, et l’amour eût paru ridicule dans leur bouche. […] Nous pensons que la comédie attendrissante qui, d’ailleurs, se rapproche beaucoup du drame populaire, peut bien ne pas manquer d’utilité morale ; mais elle nous semble s’éloigner du ton général du genre comique, qui est de faire rire ; il parait d’ailleurs difficile d’y éviter le double écueil d’être froid ou d’être romanesque.
Qui pourrait d’ailleurs supporter la lecture ou le débit d’un discours où toutes les phrases seraient également cadencées, symétrisées avec le même soin, dont toutes les chutes seraient ménagées avec le même art, et tomberaient avec la même harmonie ?
D’ailleurs, Hermann, auteur de cette conjecteure, et Ritter, qui l’adopte, ne remarquent pas que de la leçon λόγους il résulte une sorte de contradiction avec ce qui sera dit plus loin sur Cratès.
D’ailleurs, tout est sujet, tout relève de l’art.
Comparez ces compositions l’une à l’autre, c’est un exercice que je recommande d’ailleurs aux jeunes gens, vous remarquerez que cette matière, purement didactique pour les deux premiers, est animée par l’attendrissement dans M. de Fontanes, par l’enthousiasme dans Voltaire, par l’indignation contre l’opinion contraire dans Boileau, et plus vivement encore dans Corneille.
Remarquons d’ailleurs combien tout était public et occupé dans la vie de ces petites et glorieuses nations de la Grèce : il n’y avait pour personne de distraction privée ni de solitude ; l’État se chargeait pour ainsi dire d’amuser les citoyens.
Il est permis de rompre le fil du récit de la principale action par des incidents ou événements particuliers ; mais il faut que ces incidents soient vraisemblables ; qu’ils tiennent fortement au sujet et soient même nécessaires à son développement ; qu’ils piquent d’ailleurs la curiosité, et offrent assez d’intérêt pour dédommager le lecteur du retard qu’on met à satisfaire son impatience d’arriver à la fin des aventures.
Elle distingue les préceptes, des conseils : mais d’ailleurs, elle nous déclare que le mépris des conseils dispose à la transgression des préceptes. […] De là vient qu’il invite à le prendre ceux qui se trouvent déjà chargés d’ailleurs et fatigués. […] Ces discours sont d’un Orateur éloquent, qui d’ailleurs a le grand mérite de ne perdre jamais de vue le Saint dont il célèbre les vertus.
D’ailleurs, il s’en va déjà neuf ans depuis que nous sommes ici, et nos vaisseaux se pourrissent, et leurs cordages tombent en lambeaux. […] Leur vie d’ailleurs n’est qu’une fête perpétuelle. […] Réfléchissons d’ailleurs.
Si d’ailleurs quelque endroit plein chez eux d’excellence Peut entrer dans mes vers sans nulle violence, Je l’y transporte, et veux qu’il n’ait rien d’affecté, Tâchant de rendre mien cet air d’antiquité.
D’ailleurs, il y va de ton intérêt.
Ils servent d’ailleurs à en approfondir d’autres, que le lecteur débrouille sans peine, dès lors qu’on a mis sous ses yeux ces premiers éléments, et qu’il en a la mémoire toute remplie.