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34. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »

Le rhéteur n’a pas à s’en occuper à fond, il doit seulement diriger l’attention des élèves sur la coupe des phrases, des périodes et sur le choix des synonymes. […] Il faut faire attention en second lieu à ce que les membres d’une période aient une longueur à peu près égale. […] L’attention se porte sur l’espèce la plus noble du genre. […] Par elle, l’orateur excite l’attention ; on croit deviner ce qu’il va dire et l’on est très surpris de voir arriver toute autre chose. […] Cette attention est innée pour ainsi dire, dans les jeunes gens qui ont à cœur leur considération personnelle.

35. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre V. De la disposition. »

Le grand art est de ménager l’attention du lecteur : si l’on épuise tout d’abord sa curiosité, le reste devient froid et languissant. […] Il doit préparer les auditeurs à la connaissance du sujet, et en même temps provoquer leur attention et leur bienveillance. […] Si je ne puis raconter tant d’actions, je les découvrirai dans leurs principes ; j’adorerai le Dieu des armées, j’invoquerai le Dieu de paix, je bénirai le Dieu des miséricordes, et j’attirerai partout votre attention, non pas par la force de l’éloquence, mais par la vérité et la grandeur des vertus dont je suis engagé de vous parler. » 3° Narration.

36. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597

Combien de termes qui n’appartiennent pas à la langue du sujet, et qui s’y introduisent par le relâchement de l’attention, par la mémoire, par l’imitation ! […] Quant à la liaison, à cette suite et à cette jointure des idées, dont Horace a admiré la puissance en homme qui en avait senti la difficulté, que d’efforts d’attention n’y faut-il pas ! […] Images : elles sont mauvaises quand elles masquent l’objet, et font de l’ombre un corps, quand elles absorbent l’attention aux dépens de l’idée.

37. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Massillon 1643-1743 » pp. 133-138

Des amis qui nous font honorer nous sont toujours chers3, il semble qu’en les aimant nous entrons en part4 avec eux de la distinction qu’ils ont dans le monde ; nous cherchons à nous parer, pour ainsi dire, de leur réputation ; et, ne pouvant atteindre à leur mérite, nous nous honorons de leur société, pour faire penser du moins qu’il n’y a pas loin d’eux à nous5 L’emploi du temps 6 Nous regarderions comme un insensé dans le monde un homme, lequel héritier d’un trésor immense, le laisserait dissiper faute de soins et d’attentions, et n’en ferait aucun usage, ou pour s’élever à des places et à des dignités qui le tireraient de l’obscurité, ou pour s’assurer une fortune solide, et qui le mît pour l’avenir dans une situation à ne plus craindre aucun revers. […] Un seul jour perdu devrait nous laisser des regrets mille fois plus vifs et plus cuisants qu’une grande fortune manquée ; et cependant ce temps si précieux nous est à charge ; toute notre vie n’est qu’un art continuel de le perdre, et, malgré toutes nos attentions à le dissiper, il nous en reste toujours assez pour ne savoir encore qu’en faire ; et cependant la chose dont nous faisons le moins de cas sur la terre, c’est de notre temps ; nos offices, nous les réservons pour nos amis ; nos bienfaits, pour nos créatures ; nos biens, pour nos proches et pour nos enfants ; notre crédit et notre faveur, pour nous-mêmes ; nos louanges, pour ceux qui nous en paraissent dignes ; notre temps, nous le donnons à tout le monde, nous l’exposons, pour ainsi dire, en proie à tous les hommes ; on nous fait même plaisir de nous en décharger : c’est comme un poids que nous portons au milieu du monde, cherchant sans cesse quelqu’un qui nous en soulage.

38. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Rochefoucauld, 1613-1680 » pp. 32-37

En effet, dans ses plus grands intérêts et dans ses plus importantes affaires, où la violence de ses souhaits appelle toute son attention, il voit, il sent, il entend, il imagine, il soupçonne, il pénètre, il devine tout ; de sorte qu’on est tenté de croire que chacune de ses passions a une espèce de magie qui lui est propre. […] « Si l’on faisait une sérieuse attention à tout ce qui se dit de froid, de vain et de puéril dans les entretiens ordinaires, l’on aurait honte de parler ou d’écouter ; et l’on se condamnerait peut-être à un silence perpétuel, qui serait une chose pire dans le commerce que les discours inutiles Il faut donc s’accommoder à tous les esprits, permettre comme un mal nécessaire le récit des fausses nouvelles, les vagues réflexions sur le gouvernement présent ou sur l’intérêt des princes, le débit des beaux sentiments, et qui reviennent toujours les mêmes ; il faut laisser Aronce parler proverbe, et Mélinde parler de soi, de ses vapeurs, de ses migraines et de ses insomnies.

39. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332

Quelquefois un seul drame réunit tous ces genres d’intérêt ; plus souvent un seul suffit à notre attention. […] Établie pour empêcher l’attention du spectateur de s’épuiser, en présentant de temps en temps des repos à l’esprit, cette division ne doit jamais nuire à l’unité générale du drame. […] L’entr’acte ou intermède est l’intervalle qui, dans la représentation d’une pièce de théâtre, en sépare les actes, et donne du relâche à l’attention des spectateurs. […] Dans le drame, ce sont les personnages qui fixent principalement l’attention du spectateur. […] Polir les mœurs des hommes, attirer leur attention sur les bienséances prescrites dans la conduite ordinaire de la vie sociale, surtout jeter du ridicule sur le vice pour le rendre odieux, c’est rendre un service bien réel.

40. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

C’est ma tendre affection pour vous, mon amour pour la patrie qui me sollicitent à vous, demander quelques instants d’attention. […] Ce ne sont pas les flots, mais les monstres eux-mêmes, avec leurs fières attitudes, qui doivent arrêter l’attention. […] Ce tour est très propre à piquer l’attention. […] Elle badine et se joue souvent de l’attention du lecteur. […] Mais la poésie a une exigence toute spéciale : elle réclame qu’on fasse attention aux divers repos qui se rencontrent dans la cadence.

41. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236

Si elle était trop longue, elle manquerait de mouvement, et fatiguerait l’attention du lecteur. […] Il est essentiel, pour cela, de savoir d’abord quelles doivent être les qualités du style ; de connaître ensuite le style figuré, c’est-à-dire, les tours, les ornements, les différentes richesses que nous fournit notre langue, et d’apprendre en même temps l’art de les employer, en fixant notre attention sur l’usage qu’en ont fait les bons écrivains. […] La lumière du soleil frappe nos yeux, sans que nous y fassions attention : telle doit être, suivant la pensée de Quintilien 2, la lumière qui brille dans un ouvrage d’esprit. […] Oui, il faut qu’à la première lecture, avec une médiocre attention, sans gêne et sans étude, on trouve un sens net et développé. […] Tout homme qui les a lus avec quelque attention, a dû voir, non seulement que leurs plus beaux morceaux sont précisément ceux, où les lois grammaticales sont observées avec la plus grande exactitude ; mais encore qu’il y en a bien d’autres, auxquels il ne manque, pour être vraiment beaux, que l’arrangement des mots et des phrases selon ces mêmes lois.

42. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454

On fait peu d’attention à cela : tant pis pour qui se laisse prendre. […] La colonne Trajane2 est cependant à peu près telle que vous l’avez vue, et les curieux, qui n’estiment que ce qu’on peut emporter et vendre, n’y font heureusement aucune attention.

43. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15

Il faut que le sentiment naturel de la beauté soit perfectionné par l’attention donnée à des objets véritablement beaux, et dirigé par les lumières de l’intelligence. […] Ceux qui exprimèrent leurs pensées et leurs sentiments avec plus de justesse et d’énergie, captivèrent l’attention des autres et se firent écouter avec plaisir.

44. (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)

Le caractère de ceux à qui l’on parle demande aussi la plus grande attention de la part de l’orateur. […] Le temps et le lieu, dit Quintilien, exigent une attention particulière. […] Toute leur attention se dirige sur la personne et la manière de l’orateur. […] L’imprécation ne lui eût attiré que le mépris, le tour qu’il a adopté lui concilie l’attention. […] Emparez-vous fortement de l’attention de l’auditoire.

45. (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français

C’est une règle absolue, au début d’un discours ou d’un livre, de se concilier l’attention et la bonne volonté de l’auditeur ou du lecteur. […] On peut, à force de bon sens et d’attention à veiller sur soi-même, devenir simple, naturel, aisé même dans le style comme dans les manières ; on ne devient pas naïf. […] L’attention se fatiguerait ainsi que l’oreille à suivre le fil d’idées heurtées ou rattachées péniblement ; une phrase souple et nombreuse soutient, charme et entraîne. […] Les membres de la période augmentent ou diminuent de nombre selon l’étendue de la pensée et la force de l’attention. […] On peut lui reprocher l’abus de la symétrie et des antithèses, une perfection qui n’échappe pas à la monotonie ; mais l’élégance et l’habileté de son style méritent encore l’attention des gens de goût.

46. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »

Nous savons déjà que l’esprit n’admet pas avec plaisir deux actions différentes qui distraient son attention et empêchent l’intérêt. […] Dès que les princes des peuples sont pour quelque chose dans une action, l’intérêt devient en quelque sorte national, et excite plus vivement notre attention. […] Il est inutile de dire que quand ces fautes dépassent une certaine mesure, l’ouvrage qui les admet devient tout à fait indigne de l’attention des littérateurs. […] Les arts, pour atteindre à la perfection, demandent à rester isolés ; ils veulent captiver tout entière l’attention du connaisseur, et ne la laissent pas se répandre sur des œuvres voisines.

47. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117

N’a-t-il pas dit : « Il faut rire avant d’être heureux, de peur de mourir sans avoir ri. » Observateur profond, et peintre de caractères, il excelle dans l’art d’attirer l’attention par des remarques soudaines, des traits vifs et pénétrants, des métaphores passionnées, des hyperboles à outrance, des paradoxes simulés, des contrastes étudiés, des expressions originales, de petites phrases concises qui partent comme des flèches, des allégories ingénieuses, et des morceaux d’apparat où l’esprit étincelle dans les moindres détails Le berger et son troupeau 1 Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau qui, répandu sur une colline vers le déclin d’un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre2 qui a échappé à la faux du moissonneur, le berger, soigneux et attentif, est debout auprès de ses brebis ; il ne les perd pas de vue, il les suit, il les conduit, il les change de pâturage ; si elles se dispersent, il les rassemble ; si un loup avide paraît, il lâche son chien qui le met en fuite ; il les nourrit, il les défend ; l’aurore le trouve déjà en pleine campagne, d’où il ne se retire qu’avec le soleil. […] Les manières, que l’on néglige comme de petites choses, sont souvent ce qui fait que les hommes décident de vous en bien ou en mal : une légère attention à les avoir douces et polies prévient leurs mauvais jugements. […] Il me semble que l’esprit de politesse est une certaine attention à faire que, par nos paroles et par nos manières, les autres soient contents de nous et d’eux-mêmes3.

48. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252

J’eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m’avait fait perdre en un instant l’attention et l’estime publique ; car j’entrai tout à coup dans un néant affreux. […] Le nombre de troupes n’étant pas excessif, on avait attention à ne recevoir dans la milice que des gens qui eussent assez de bien pour avoir intérêt à la conservation de la ville3 ; enfin le sénat voyait de près la conduite des généraux, et leur ôtait la pensée de rien faire contre leur devoir. […] Les désirs changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’aime plus ; on était libre avec les lois, on veut être libre contre elles : chaque citoyen est comme un esclave échappé de la maison de son maître ; ce qui était maxime, on l’appelle rigueur ; ce qui était règle, on l’appelle gêne ; ce qui était attention, on l’appelle crainte.

49. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10

Un homme qui a vu et qui a écouté longtemps avec de l’attention et du dessein3, qui a fait diverses réflexions sur les vérités universelles, qui a considéré sérieusement les principes et les conclusions de chaque science, qui a fortifié son naturel de mille règles et de mille exemples, qui s’est nourri du suc et de la substance des bons livres ; un homme, dis-je, si plein, a bien de quoi débiter ; ayant tant de fonds et tant de matière de parler, il a de grands avantages quand il parle ; et personne ne peut trouver étrange que d’une infinité de hautes et de rares connaissances sortent et fleurissent les diverses grâces de ses paroles comme de leur tige et de leur racine. […] Je lis des livres qui ne m’obligent point à méditer, et je n’apporte à ma lecture qu’une médiocre attention.

50. (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres

J’ai cru autrefois, et dans ma première jeunesse, que ces endroits étaient clairs et intelligibles pour les acteurs, pour le parterre et l’amphithéâtre ; que leurs auteurs s’entendaient eux-mêmes, et qu’avec toute l’attention que je donnais à leur récit, j’avais tort de n’y rien entendre : je suis détrompé. […] Il peut y avoir un ridicule si bas et si grossier, ou même si fade et si indifférent, qu’il n’est ni permis au poète d’y faire attention ni possible aux spectateurs de s’en divertir. […] Si vous aimez le savoir joint à l’éloquence, vous n’attendrez pas longtemps ; réservez seulement toute votre attention pour celui qui parlera après moi58. […] Ajoutez qu’un orateur habile et expérimenté proportionne les choses à l’impression qu’il voit qu’elles font sur l’auditeur ; car il remarque fort bien ce qui entre et ce qui n’entre pas dans l’esprit, ce qui attire l’attention, ce qui touche les cœurs, et ce qui ne fait point ces effets. […] En faisant un détail, il ne faut rien présenter l’esprit de l’auditeur qui ne mérite son attention, et qui ne contribue à l’idée qu’on veut lui donner.

51. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229

Sans doute quelques ouvrages scientifiques demandent au lecteur, avec des connaissances préalables, une plus grande attention que d’autres, et je ne prétends pas que la Mécanique céleste de Laplace soit obscure, parce que le commun des lecteurs ne la comprend pas. […] Dans un ordre d’idées moins élevé, ce qui n’est pas clair n’est pas français, non parce que la langue française est en elle-même plus claire qu’une autre, mais, au contraire, parce qu’elle prête davantage à l’obscurité, parce que la rigueur de ses constructions et le peu d’élasticité de sa phraséologie exigent de l’écrivain les plus minutieuses précautions pour être toujours entendu, et qu’il doit veiller sur la clarté avec une attention d’autant plus inquiète qu’elle est toujours près de lui échapper.

52. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300

Loin de là ; plus le temps en a rendu l’emploi difficile, plus elles exigent de soins et d’attention. […] Avant d’entrer dans les détails, et sans vouloir, je le répète, imposer mon système, je recommanderai seulement à celui qui étudie les figures, d’abord, de ne point perdre de vue dans son travail la division que je viens d’indiquer, d’en vérifier l’exactitude par l’examen des faits, et, à mesure que se présente un terme nouveau, de le ramener sous ce que j’ai appelé sa bannière ; cette attention lui facilitera l’intelligence et le souvenir de chaque figure ; ensuite de mettre à part, d’un côté, celles qui ne sont, selon la remarque consignée plus haut, que des idiotismes consacrés par l’usage, de simples catachrèses, n’admettant par conséquent aucun précepte, aucune modification, en un mot, choses de mémoire et de théorie ; de l’autre, celles qui sont entièrement abandonnées au libre arbitre de l’écrivain, et par là même obligent le rhéteur à en régler l’emploi, à en déterminer les limites, choses de réflexion et de pratique.

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