Voyez ce qu’il est dans l’opinion des hommes, et comprenez, si vous pouvez, comment il peut ignorer cette opinion ou l’affronter !
Que comprend-on sous le nom de poésies fugitives ?
Je crois qu’il vous dirait aussi l’étonnement où il doit être de votre dégoût pour ses divines senteurs ; cependant, je le comprends, ma fille, la chose du monde la plus malsaine, c’est de dormir parmi les odeurs. […] 1º Cette définition morale comprend trois espèces de flatteurs. […] Il vaut mieux n’y rien comprendre — … Paracelse. […] Le président se leva, et sans proférer une parole, il lui montra d’un air affligé la coupe emblématique ; le docteur comprit, mais ne perdit pas courage. […] J’y comprends autant qu’à vos guinées, sortez, — L’anglais part.
On comprend assez que le vraisemblable ordinaire convient mieux à l’action dramatique que le vraisemblable extraordinaire. […] Dans ces mœurs générales, sont aussi comprises les mœurs des différens âges et des différentes conditions. […] Isabelle l’a vu ; mais a-t-elle compris le langage de ses yeux ? […] Les pensées doivent être fines et délicates, mais toujours justes, toujours vraies, toujours rendues par des expressions naturelles, et avec assez de clarté, pour que les spectateurs d’une médiocre intelligence puissent les bien comprendre. […] Ce genre de poésie dramatique comprend, 1. la tragédie proprement dite ; 2. la tragédie lyrique, ou opéra.
Ces deux passions, l’amour et la haine, sont le fond de toutes les autres, parce qu’elles comprennent les deux rapports de notre âme avec le bien et le mal36. […] Nous y comprenons la noblesse, parce qu’il nous semble qu’elle s’accorde avec tous les tons et avec tous les sujets, et que nous l’opposons à la bassesse et à la trivialité. […] J’y vois une antithèse, dit Rollin ; mais je n’y découvre rien de plus, et j’avoue que n’ai pu en comprendre le sens. […] Mais il est tout simple qu’après s’être ainsi trompé, il reproche à Cicéron d’avoir compris parmi les figures plusieurs formes du discours qui, suivant lui, ne sont point des figures. […] Nous avons cité des exemples des poètes pour faire mieux comprendre la force de cette figure ; car la peinture est encore plus vive dans les poètes que dans les orateurs.
Il faut comprendre : « Je suis d’autant plus disposé à tout autre amusement, si léger qu’il soit, que mes livres, étant sous ma main, ne sauraient me faire défaut, en cas d’ennui. » 6.
C’est-à-dire, qu’il faut chercher à comprendre.
Il est impossible de comprendre ce qu’il fait, ni ce que son voyage de Bretagne lui a coûté, quoi qu’il eût renvoyé ses laquais et son cocher à Paris, et qu’il n’eût que le seul Larmechin dans cette ville où il fut deux mois.
Il est difficile de comprendre les ouvrages grecs. — 8. […] L’Asie est comprise entre le Tanaïs et le Nil, la Libye ou Afrique entre le Nil et le détroit de Gadès, l’Europe entre ce détroit et le Tanaïs. […] Les préceptes de la sagesse sont faciles à dire, agréables à entendre, aisés à comprendre, honorables à pratiquer. — 10.
Vous comprenez assez qu’il n’est pas ici question de la naissance3.
Remplis-moi d’un esprit qui me fasse comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes saintes volontés, Et réduis mes désirs au seul plaisir d’entendre Tes hautes vérités.
Comprenez : sur ses traces arrive..
Tu n’y comprends rien.
O vous, l’aîné des Pisons, vous dont les leçons d’un père développent le goût précoce et les talents naturels, écoutez et retenez bien cette parole : en certaines choses, la médiocrité se comprend et s’excuse. […] Pour bien comprendre le sens longtemps controversé de ces paroles, il faut les rapprocher de ce qui précède et de ce qui suit.
Il a deux parties essentielles : l’une comprend les louanges qu’on donne aux nouveaux époux, et l’autre, les vœux qu’on fait pour leur bonheur.
Rapprochez le passage de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand il ajoute que les livres en apprennent plus que les voyages, et qu’il m’a fait comprendre par ses discours qu’il a une bibliothèque, je souhaite de la voir ; je vais trouver cet homme, qui me reçoit dans une maison où dès l’escalier je tombe en faiblesse d’une odeur de maroquin noir dont ses livres sont tous couverts.
Je savais ce que je faisais, lorsque, général d’armée, je prenais la qualité de membre de l’Institut : j’étais sûr d’être compris par le dernier tambour.
On comprend que cette indépendance de toute règle doit ouvrir la carrière à bien des abus.