/ 207
95. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »

Addisson cite, par exemple, la nouveauté.

96. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »

Maury, c’est l’usage admirable qu’il fait de l’Écriture : au lieu de citer les livres saints en fastidieux érudit, il s’en sert en orateur plein de verve.

97. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »

Tous les compilateurs n’ont jamais manqué de citer ce morceau, et de se récrier d’admiration en le citant.

98. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144

Sur le sens technique de ce mot, voyez Vincent, Notice déjà citée, p. 73 et suiv.

99. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre II. »

On cite surtout de lui la cantate de Circé12.

100. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »

Et nous pouvons répéter aujourd’hui ce qu’a dit Boileau, il y a plus d’un siècle et demi : Mais en vain mille auteurs y pensent arriver, Et cet heureux phénix est encore à trouver. » Sans nous arrêter à cette opinion bizarre qui ne veut pas qu’une petite pièce de poésie soit jamais parfaite qui a fait ses règles exprès pour qu’elle ne le fût pas, et qui, le fût-elle, trouverait encore facilement à y reprendre ; citons ici deux sonnets de caractère moyen, où l’on verra comment on a pu tirer parti de cette coupe difficile, et dire pourtant de très jolies choses.

101. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre I. — Rhétorique »

Nous n’acceptons ce jugement qu’avec réserve, quoique nous citions ici quelques traits d’éloquence dignes d’admiration, tels que ceux-ci :   Scipion l’Africain, accusé de péculat, est cité à comparaître devant le peuple romain, pour expliquer ses comptes.

102. (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde

Quelques-uns de ceux qui ont lu un ouvrage en rapportent certains traits dont ils n’ont pas compris le sens, et qu’ils altèrent encore par tout ce qu’ils y mettent du leur ; et ces traits ainsi corrompus et défigurés, qui ne sont autre chose que leurs propres pensées et leurs expressions, ils les exposent à la censure, soutiennent qu’ils sont mauvais, et tout le monde convient qu’ils sont mauvais : mais l’endroit de l’ouvrage que ces critiques croient citer, et qu’en effet ils ne citent point, n’en est pas pire. […] Voyez avec quel naturel madame de Sévigné et d’autres dames écrivent ; comparez ce style avec les phrases entortillées de nos petits romans ; je vous cite les héroïnes de votre sexe, parce que vous me paraissez faite pour leur ressembler. […] Si vous voulez que je vous cite des hommes, voyez avec quelle clarté, quelle simplicité notre Racine s’exprime toujours. […] La dernière lettre qu’il écrivit, pleine d’une simplicité héroïque, a souvent été citée.

103. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »

Voici un bien bel exemple de cette manière d’imiter ; Voltaire le cite, si je ne me trompe, dans une de ses lettres. […] Il suffira d’en citer un seul fourni par un grand maître, et qui peut bien servir de modèle : il est tiré d’une oraison de Cicéron contre Verrès 36, Préteur de Sicile, qui avait condamné au dernier supplice Gavius, citoyen romain. […] Les deux discours dont je viens de citer, la péroraison, sont les chefs-d’œuvre du barreau d’Athènes. […] Celle de l’oraison funèbre du grand Condé 86, par Bossuet, est un des plus beaux modèles qu’on puisse citer en notre langue.

104. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »

On cite comme modèle d’intrigue habilement nouée l’Héraclius de Corneille. […] Citons après lui Beaumarchais, Anicet-Bourgeois, Frédéric Soulié. — En anglais : Otway, Southern.

105. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »

Mais, malgré les orages de la liberté, les grands intérêts, et le plaisir de gouverner par la parole un peuple libre, il n’y eut pas, avant Caton, un orateur que l’on pût citer.

106. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »

Longin, qui cite cet exemple, ne manque pas de se récrier sur la majesté avec laquelle Homère peint ses Dieux.

107. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39

. — De nos jours on peut citer, parmi ses nombreux appréciateurs, M.

108. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296

Daire, son compatriote, a écrit sa vie (Paris, 1779, in-12) ; plusieurs ont composé son éloge, et parmi eux on peut citer Noël et le célèbre Sylvain Bailly.

109. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Maintenon 1635-1719 » pp. 94-99

. — Le texte de cette lettre a été altéré par la plupart des recueils qui l’ont citée jusqu’ici.

110. (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433

Leurs textes qu’il citerait, seraient les ornemens du sien. […] Tantôt je cite mot à mot, et alors je marque les passages par des guillemets ; tantôt j’abrège les textes ; dans ce cas je ne fais qu’indiquer les auteurs. […] Je ferais un raisonnement de cette sorte, si je citais l’exemple des conquérans illustres, pour prouver les succès futurs d’un ambitieux à qui je chercherais à plaire. […] Pour que l’exemple soit concluant, il ne suffit pas que le fait qu’on allègue et dont on s’autorise soit avéré ; il faut encore que les circonstances soient les mêmes, que tout soit égal entre l’exemple que l’on cite et la chose qu’on veut prouver par cet exemple.

111. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes

Christine de Pisan et Alain Chartier citaient Sénèque, Cicéron, Virgile. […] Nous citons l’édition P.

112. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303

On cite de ces poëte, enlevé à la gloire par une mort prématurée et déplorable (à trente-quatre ans, 1767), une belle imitation du psaume Super flumina Babylonis, une ode sur le Soleil fixe au milieu des planètes (c’est l’exposition du système de Copernic), quelques morceaux traduits avec éclat de Virgile, etc.

/ 207