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36. (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique

On peut juger quelle terreur saisit tout le monde en ce passage si subit d’une sécurité entière à la plus désespérée extrémité. […] Une foule d’officiers de Monseigneur se jetèrent à genoux tout du long de la cour, des deux côtés sur le passage du roi, lui criant, avec des hurlements étranges, d’avoir compassion d’eux, qui avaient tout perdu et qui mouraient de faim. […] Seigneur, c’est un moyen de vous être bien chère Que pour don nuptial vous immoler un frère ; On fait plus : on m’impute un coup si plein d’horreur, Pour me faire un passage à vous percer le cœur.

37. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303

Chacun veut de la vie embellir le passage : L’homme le plus heureux est aussi le plus sage…     Jadis la poésie, en ses pompeux accords, Osant même au néant prêter une âme, un corps, Egayait la raison de riantes images ; Cachait de la vertu les préceptes sauvages Sous le voile enchanteur d’aimables fictions ; Audacieuse et sage en ses expressions, Pour cadencer un vers qui dans l’âme s’imprime, Sans appauvrir l’idée enrichissait la rime ; S’ouvrait par notre oreille un chemin vers nos cœurs, Et nous divertissait pour nous rendre meilleurs. […] L’imitation de Boileau perce dans tout ce passage.

38. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285

Riche ou pauvre, qu’il donne ou qu’il reçoive, il se prépare un tombeau où nul n’accusera son passage d’avoir été un malheur. […] Mais, là où la patrie est un temple vide, qui n’attend rien de nous que le silence et le passage, il se crée une oisiveté formidable, où la force des âmes, s’il leur en reste, se dépense à se flétrir1.

39. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505

c’est bien en effet d’un autre ; et, dans son cours, Sur ma tête blanchie imprimant son passage, Le temps n’a pas changé seulement mon visage. […] Je viens de voir le nom d’un roi1 Sur le livre où, selon l’usage, Chacun ici laisse après soi Une trace de son passage.

40. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »

Persuadés qu’il n’y a pas la moindre comparaison à faire entre des passages isolés, quelque bien choisis qu’ils puissent être, et ces mêmes passages placés dans leur cadre naturel, nous avons mieux aimé offrir l’ordonnance imposante d’un grand tableau, que d’en montrer quelques personnages détachés, sans attitude, sans physionomie et sans expression. […] C’est ce qui lui inspira, sans doute, le passage, suivant, où l’on remarque autant d’art que de délicatesse : 112« Quæ si opposita Miloni putarem, cederem tempori, Judices, nec inter tantam vim armorum existimarem oratori locum esse.

41. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387

Enfin, les saillies de l’imagination, le concours d’une foule d’idées qui se présentent ensemble et se heurtent en quelque sorte pour se faire passage, la fougue, l’impatience, le délire de la passion qui s’emporte, et jettent le désordre dans l’esprit, peuvent engager l’écrivain à enlever les mots à leur place ordinaire, et à bouleverser même des phrases entières. […] Ainsi j’appelle épiphonème les vers imprimés en caractère italique de ce passage de la Fontaine, dans sa belle élégie aux Nymphes de Vaux : Inspires A Louis cette même douceur : La plus belle victoire est de vaincre son cœur. […] Ier du livre IV de Quinte-Curce : « Darius, tanti modo exercitus rex, qui, triumphantis magis quam dimicantis more, curra sublimis, inierat prælium, per loca, quœ prope immensis agminibus compleverat, jam inania et ingenti solitudine vasta, fugiebat. » Opposez à ce passage une construction toute différente de Justin, pour exprimer la même idée, à propos de Xerxès, livre II, chap. 13 : « Erat res spectaculo digna, et œstimatione sortis humanœ verum varietate miranda, in exiguo latentem videre navigio, quem paullo ante vix æquor omne capiebat ; carentem etiam omni servorum ministerio, cujus exercitus propter multitudinem terris graves erant. » Et voyez cependant malgré le defaut de désinences significatives, la construction française, maniée par un grand écrivain, égale, si elle ne la surpasse, toute la puissance de la construction latine ; rapprochez, en effet, de Quinte-Curce et de Justin la phrase magnifique de Bossuet, toujours sur la même idée : « O voyage bien différent de celui qu’elle avait fait sur la même mer, lorsque, venant prendre possession du sceptre de la Grande-Bretagne, elle voyait pour ainsi dire les ondes se courber sous elle et soumettre toutes leurs vagues à la dominatrice des mers !

42. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241

Dois-je oublier son père à mes pieds renversé, Ensanglantant l’autel qu’il tenait embrassé 1 Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle, Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés, sous le fer expirants2 ; Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir à ma vue ; Voilà par quels exploits il sut se couronner ; Enfin, voilà l’époux que tu me veux donner. […] Sorti de l’école de Port-Royal, Racine s’était déjà annoncé comme poëte distingué par ses deux premières pièces, la Thébaïde ou les Frères ennemis, et Alexandre, lorsqu’il fit son véritable avénement dans la tragédie par Andromaque (1667), qui a marqué, après le Cid, la seconde époque de la gloire du théâtre français. — Voltaire n’a pas craint d’appeler admirable cette pièce dont le sujet est tiré du IIIe livre de l’Eneïde de Virgile (v. 301-332), et où l’auteur a imité aussi en quelques passages l’Andromaque d’Euripide. […] Dans tout ce passage, on sent, comme le remarque La Harpe, que Virgile a servi de modèle à Racine.

43. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53

Son mari s’était noyé au passage du Rhin : on peut consulter les lettres de madame de Sévigné des 17 et 19 juin 1672. […] Il fut, dans ce célèbre passage, blessé à la main : on peut voir les lettres précédemment citées.

44. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211

Terme de vénerie, comme il y en a beaucoup dans ce passage. […] , III, 87 : At duplex agitur per lumbos spina ; … Il faut voir, au reste, dans ce passage la description d’un beau cheval, pour la rapprocher de celle de Molière.

45. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-8

Un petit effort, un mouvement même sans violence, le passage d’un lit à un autre5, est quelquefois mortel à ces mauvais corps. […] Ce passage est tiré d’une lettre au cardinal de la Valette, si dévoué à Richelieu, que son père, le duc d’Épernon, l’appela le cardinal Valeto (Valet).

46. (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde

J’ai fait autrefois les mêmes fautes que vous, je m’en suis repentie ; et, quoique le temps ne m’ait pas fait tout le mal qu’il fait aux autres, il ne laisse pas de m’avoir ôté mille petits agréments qui ne laissent que trop de marques de son passage. […] Je ne m’en étonne pas, chrétiens ; d’autres pauvres plus pressants et plus affamés ont gagné les avenues les plus proches et épuisé les libéralités à un passage plus secret. […] Car voilà le sens littéral de ce passage tout divin que j’ai choisi pour mon texte : Judæi signa petunt, et Græci sapientiam quærunt 164. […] Il entre dans l’eau jusqu’au-dessus du genou, la tête entre les jambes, pour guetter au passage une grenouille, un poisson ; mais, réduit à attendre que sa proie vienne s’offrir à lui, et n’ayant qu’un instant pour la saisir, il doit subir de longs jeûnes, et quelquefois périr d’inanition ; car il n’a pas l’instinct, lorsque l’eau est couverte de glace, d’aller chercher à vivre dans des climats plus tempérés.

47. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160

Tantôt ce sera une peinture qu’animeront les traits les plus vifs et les plus frappants, et que suivront de grandes et nobles idées rendues avec une singulière véhémence de style, comme dans ces strophes de l’Ode à la fortune, de Rousseau : Quels traits me présentent vos fastes… Juges insensés que nous sommes… Tantôt ce seront des comparaisons riches et multipliées qui nous présenteront les objets dans toute leur grandeur, dans toute leur beauté, comme celle que nous offre l’Ode aux princes chrétiens sur l’armement des Turcs : Comme un torrent fougueux… La Palestine enfin, après tant de ravages… Tantôt, ce sera un enchaînement de figures vives et saillantes qui donneront aux pensées un nouveau degré de force et d’élévation, comme on le voit dans un passage de l’ode Qualem ministrum : Quid debeas, ô Roma, Neronibus… cum laude victorem. […] Le premier, Cantemus Domino, est l’expression la plus sublime de la reconnaissance et de l’admiration des Hébreux, après le passage de la mer Rouge ; l’autre, Audite, cœli quæ loquor, fut prononcé par Moïse, quelque temps avant sa mort, pour graver profondément dans la mémoire du peuple le souvenir des bienfaits dont Dieu l’avait comblé. […] Tel est le cantique de Moïse après le passage de la mer Rouge ; tel est encore le cantique de saint Ambroise et de saint Augustin, le Te Deum, chanté par une nation entière, après un événement heureux et important. […] Quoi de plus vivant, de plus délicieux que le passage suivant des Livres Saints : Vous bénirez nos champs, Seigneur, et vos bénédictions seront la couronne de l’année, et les campagnes se couvriront de vos dons. […] Nous mentionnerons en premier lieu le célèbre dithyrambe de Delille sur l’Immortalité de l’âme, dirigé contre les révolutionnaires de 1793, dans lequel on remarque des vers très énergiques, comme le passage commençant par ces mots : Oui, vous qui de l’Olympe usurpant le tonnerre… Lebrun a chanté, dans un poème de ce genre, l’arrivée à Paris des monuments artistiques conquis en Italie pendant la campagne de 1796 : Réveille-toi, lyre d’Orphée… Enfin, Lamartine, voulant remercier M. de Genoude de sa traduction de l’Écriture, lui adressa un dithyrambe sur la poésie sacrée, dans lequel il imite successivement le mouvement et le ton des différents poètes inspirés.

48. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »

Tels sont les passages suivants : L’enfer s’émeut au bruit de Neptune en furie. […] Boileau, dans le Passage du Rhin, fait allusion à Jules César, lorsqu’il dit en parlant de Louis XIV : Il a de Jupiter la taille et le visage ; Et, depuis ce Romain dont l’insolent passage Sur un pont en deux jours trompa tous les efforts, Jamais rien de grand n’a paru sur tes bords. […] Dans ce passage d’un sermon de Massillon, la répétition de la conjonction semble accumuler les reproches faits à la mémoire d’un prince ambitieux : Sa gloire sera toujours souillée de sang. […] Tel est cet épisode, arrivé au Passage du Rhin par l’armée française, sous les yeux de Louis le Grand : Le chevalier de Nantouillet était tombé de cheval : il va au fond de l’eau, il revient, il retourne, il revient encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval, il s’y attache ; ce cheval le mène à bord, il monte sur le cheval, se trouve à la mêlée, reçoit deux coups dans son chapeau, et revient gaillard. […] Tel est ce passage, où Condillac annonce qu’il ne parlera ni des cruautés ni des folies de Caligula, et cependant il nous les retrace en quelques lignes et avec force : Il s’attachait la populace par des spectacles qu’il donnait fréquemment, et les soldats par des gratifications qu’il leur faillit.

49. (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72

Ce passage fournirait, s’il en était besoin, une nouvelle preuve du caractère intime et presque confidentiel de l’Épitre aux Pisons. […] Le passage ainsi modifié nous paraît avoir le triple avantage de la symétrie, d’une clarté plus grande, et d’une relation toute naturelle avec les vers qui viennent plus bas : Tua me infortunia lædent, Telephe, vel Peleu, etc. […] Voici la paraphrase pleine de justesse que Du Marsais a faite de ce passage : « Si vous osez mettre sur la scène un sujet nouveau, un caractère qui n’ait pas encore été traité, si quid inexpertum, etc., et que, pour peindre ce caractère, vous inventiez un personnage jusqu’alors inconnu au théâtre, personam novam : que ce personnage conserve toujours son caractère ; qu’il ne se démente point, et que, jusqu’à la fin de la pièce, il soit tel qu’il aura paru au commencement. […] Ce passage a été imité par notre vieux poëte Régnier, voyez la satire V ; par Boileau, voyez l’Art poétique, liv.  […] En effet, le vieillard est bien plus enclin au désespoir qu’aux longues espérances ; et puis, entre ces deux mots iners et avidus, il semble qu’il y aurait opposition ; enfin, le passage d’Aristote, que le poëte avait certainement en vue, repousse complétement l’idée de avidus : δειοὶ καὶ πάντα προφοϐητικοί, dit Aristote, meticulosi et de omnibus futuris paventes.

50. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78

Le même défaut est encore plus sensible dans le passage suivant de Malherbe, où il s’agit de la pénitence de saint Pierre. […] Super flumina Babylonis, illic sedimus et flevimus… Nous mentionnerons encore les dernières paroles de Gilbert : Au banquet de la vie… ; le Jour des morts de Fontanes ; la Chute des feuilles, de Millevoye ; le Cimetière de campagne, de Thomas Gray ; beaucoup de passages de Chateaubriand, et plusieurs élégies des poètes allemands. […] Voici comment s’exprime Moïse dans son magnifique cantique sur le passage de la mer Rouge : Misisti (Domine) iram tuam, quæ devoravit eos (adversarios) sicut stipulam. […] Ce défaut se remarque dans la phrase suivante : J’arrivai au port, j’aperçus un navire, je m’informai du prix du passage, je fis mon marché ; je m’embarque, on lève l’ancre, on met à la voile, nous partons. […] En certaines occasions, les parenthèses donnent à la pensée un air de vivacité qui la fait briller au passage ; mais, le plus souvent, elles embarrassent et obscurcissent la phrase et brisent l’unité.

51. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454

Allusion à ce passage de l’Énéide, où le héros du poëme retrouve aux Enfers Deiphobus, fils de Priam, mutilé par les blessures reçues dans le pillage de Troie. […] Allusion au célèbre passage du chant V de l’Iliade, où Diomède blesse à la main Vénus accourue au secours de son fils Enée, poursuivi par le héros grec.

52. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lamartine 1790-1869 » pp. 506-523

Empruntons à madame de Staël ce passage sur l’Enthousiasme :   « On peut le dire avec confiance, l’enthousiasme est de tous les sentiments celui qui donne le plus de bonheur, le seul qui en donne véritablement, le seul qui sache nous faire supporter la destinée humaine, dans toutes les situations où le sort peut nous placer. […]   Rapprochons ce passage d’Eugénie de Guérin :   « Notre Cayla est bien changé et change tous les jours. […] Cette larme me rappelle ce passage :   « Depuis cette leçon, un chagrin.

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