Lecture. — Exemples de Métonymie. […] Lecture. — Auguste à Cinna. […] Lecture. — Existence de Dieu. […] Lecture. — Élévation d’Esther. […] Lectures. — 1° Les Mondes.

Lecture. — Le Tour du monde impromptu. […] Lecture. — Vœu de Jephté. […] Lecture. — Le Porteur d’eau, vol. […] Lecture. — La Providence. […] Lecture. — La Campagne.

Ce résultat s’obtient ; 1° par l’étude et l’observation en général ; 2° par la lecture ; 3° par la traduction ; 4° par la conversation. […] 2° La lecture. […] De même que les abeilles savent faire un choix parmi les fleurs, nous devons choisir avec soin nos lectures : il y a des fleurs vénéneuses, il y a des livres où circule le poison. […] Bossuet était rempli de la lecture de la Bible ; Démosthène copia plusieurs fois de sa main toute l’histoire de Thucydide, pour s’identifier avec son style. […] Les lectures sans choix et sans régie contribuent surtout à dépraver le goût.

Buffon la regarde comme facile à acquérir par la lecture des poètes et des orateurs. […] Nous donnons dans le volume de Lectures la spirituelle et incisive épître qu’il a composée contre les romantiques. […] Lecture. — Les Forêts d’Amérique, vol. […] Lecture. — La Mort de saint Louis. […] Lecture. — Cantique de Moïse.

Lectures. […] Lectures. […] Lecture. — La Vraie Gloire. […] Lecture. — Xénophon à Scillonte. […] Lectures.

Lecture. — Une Tempête. […] Non, sans doute ; mais Fénelon avait médité les anciens, et il avait su tirer profit de leur lecture. […] Lecture. — Louis IX à Joinville. […] Lecture. — La Providence. […] Lecture. — Mort de Turenne.

Lecture. — Aux Nymphes de Vaux. […] Lectures. — Mort d’Hippolyte, par Racine. […] Lecture. — Le Distrait. […] Lecture. — Le Chêne et le Roseau. […] Lecture. — La Laitière et le Pot au lait.

Cette hésitation dépend le plus souvent du peu de bons modèles que l’on offre aux jeunes élèves ; il nous a semblé qu’il n’était pas inutile de leur présenter, dans un deuxième volume, des lectures complémentaires qui ont l’avantage de leur faire voir comment les Fénelon, les Bossuet, les Sévigné, les Chateaubriand, etc., se sont exprimés dans certaines circonstances. […] Le deuxième volume est le complément du premier : il renferme des lectures conformes aux principes expliqués dans le premier livre ; il lui vient en aide et offre l’avantage de faire connaître plus amplement les bons écrivains de notre pays. La plupart des morceaux que nous avons choisis sont destinés à servir non seulement de lectures, mais aussi d’exercices de mémoire. […] Cette première étude était suivie de celle des langues, de la lecture des poètes, et de la connaissance des manuscrits, qui, en attendant l’invention de l’imprimerie, tenaient lieu de livres.

Nous avons indiqué de nombreuses lectures à faire. […] De l’utilité des livres et des lectures. […] Comparez d’après vos lectures, Voltaire et Rousseau comme écrivains. […] – Quelle utilité peut-on tirer de la lecture des moralistes ? […] Il souffre à la lecture de certains écrits.

Dans un système de lectures habilement graduées, l’élève étudiera les vocables individuellement, en quelque sorte ; il en observera la nature, les ressemblances et les différences6 ; il cherchera à apprécier non-seulement les lois, mais les habitudes qui déterminent leurs relations réciproques. […] Dans les lectures graduées que je recommande, j’insiste sur le précepte de Quintilien, qui demande qu’on s’adresse, dès le principe, aux auteurs de premier ordre, et qu’on relise souvent les mêmes livres, si l’on veut former pour la suite sa pensée et son style. […] Ces lectures se feront, autant que possible, à haute voix, pour habituer à une prononciation correcte. […] Ainsi beaucoup de grammaire, de lectures, de traductions en langue maternelle, peu de traductions ou de compositions en grec ou en latin, et, si l’on s’en occupe, qu’on leur donne pour principe l’imitation et presque la reproduction littérale des formes de l’antiquité. […] On peut en dire autant des langues étrangères ; des lectures de toute espèce, si l’on se borne, avare de son temps, aux ouvrages instructifs ou originaux en leur genre ; des voyages, quand l’occasion s’en présente, si l’on sait les utiliser, voir, écouter, étudier la nature et ses merveilles, l’homme, ses mœurs et ses ouvrages.

Conseils à une demoiselle Sur la lecture Aux Délices, près de Genève, le 20 juin 1756. […] S’il en montrait moins, il me laisserait respirer et me ferait plus de plaisir : il me tient trop tendu, la lecture de ses vers me devient une étude ; tant d’éclairs m’éblouissent ; je cherche une lumière douce qui soulage mes faibles yeux. » (Lettre à l’Académie, V.) […] Madame de Sévigné parlait ainsi des maîtres qui furent ses contemporains et qu’elle relisait souvent : « Nous relisons aussi, au travers de nos grandes lectures, des rogatons que nous trouvons sous notre main ; par exemple, toutes les belles oraisons funèbres de M. […] La Bruyère disait sur le même sujet : « Quand une lecture vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l’ouvrage : il est bon et fait de main d’ouvrier. » 5. […] Je me borne à décacheter les lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture, comme elle peut.

Il communiqua à ses amis un plan de lecture sur la composition littéraire. […] Il en commença la lecture au collège d’Edimbourg le 11 décembre 1759. […] Les Lectures de Blair furent traduites en français par M.  […] Les lectures suivantes seront divisées en cinq parties. […] Le premier point va nous occuper d’abord, et nous y consacrerons le reste de cette Lecture.

La lecture des livres qui nous facilitent cette connoissance des hommes, est donc bien essentielle. […] Madame de la Sablière, si recommandable par son esprit et par ses vertus, y a répandu des maximes chrétiennes, qui respirent la plus saine morale de l’évangile, et dont la lecture ne sauroit être trop conseillée. […] Pour apprécier tous les raisonnemens des détracteurs de cette religion divine, nous n’avons pas besoin de nous engager dans la lecture d’une foule d’excellens ouvrages, où elle est vengée d’une manière si éclatante et si victorieuse. […] Mais le livre, dont la lecture doit, pour cet objet, nous occuper le plus fréquemment ; le livre le plus capable de nous faire aimer et pratiquer la vertu, est l’Imitation de Jésus-Christ ; livre admirable, plein de sagesse, de force et d’onction. Le fruit de cette lecture sera une piété douce et tendre, une tranquillité d’âme inaltérable, un courage à toute épreuve dans les peines et les afflictions qui sont inséparables de la nature humaine, au faîte même des grandeurs, et dans le sein de la plus brillante prospérité.

Nous rapporterons ici plusieurs fragments pris au hasard qui nous engageront, je pense, à faire complètement la lecture des ouvrages d’où ils sont tirés. […] Lecture. — Le Paysan du Danube. […] Lectures. — 1° Péroraison de l’Éloge funèbre de Washington.

Autrement, la lecture de l’histoire ne produit ni plaisir ni instruction. […] La lecture en est amusante et agréable ; on y trouve beaucoup d’esprit et d’ingénuité. […] Cependant il y resta toujours beaucoup trop de merveilleux, pour qu’un siècle qui vise au perfectionnement du goût trouve quelque plaisir à leur lecture. […] Cette lecture sera employée à l’examen de la poésie pastorale et de la poésie lyrique. […] Indiquer le caractère particulier de chacun d’eux, c’est augmenter beaucoup le fruit que l’on peut retirer de leur lecture.

Nous pouvons dire du sujet ce que la Bruyère dit de l’ouvrage : « Quand une lecture vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l’ouvrage : il est bon et fait de main d’ouvrier. » Le mot de la Bruyère explique ce que j’entends par moralité. […] Le plus bel éloge à leur goût, c’était que, une fois la lecture commencée, on ne pût la quitter qu’à la dernière page. […] Et pourtant ce même homme eût maudit de grand cœur quiconque, à la première lecture, lui eût ôté le livre des mains avant la fin du quatrième tome.

Les jeunes gens ne doivent pas s’étonner si on leur interdit ces frivoles et dangereuses lectures : leur cœur et leur esprit n’y peuvent rien gagner, ils ont tout à y perdre. […] Rien n’est plus contraire aux progrès d’une éducation solide que la lecture des romans ; ces frivoles distractions dégoûtent des travaux sérieux, jettent le trouble dans les idées, et fanent promptement cette fleur de l’imagination qui a besoin de tant de délicats ménagements. La lecture des romans, même les plus innocents en apparence, peut fausser l’esprit et troubler le cœur où règnent la candeur et la simplicité de la vertu ; car ils peignent un monde idéal et factice qui diffère toujours du monde réel.