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15. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre I. » pp. 73-74

Remarquez combien ces premières lignes rattachent naturellement la Poétique à la Rhétorique  elles ont d’ailleurs beaucoup d’analogie avec les préambules d’autres ouvrages d’Aristote, par exemple avec ceux des Météorologiques et des petits traités qui suivent le Traité de l’âme. […] Athénée, XI, p. 505, cite un passage du traité d’Aristote Sur les Poëtes, où l’auteur faisait à peu près la même observation.

16. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXII. » pp. 122-123

Ὀνομάτων σύνθεσις a-t-il ici le même sens que dans le traité de Denys d’Halicarnasse Ὀνομάτων συνθέσεως, ou celui de formation des mots composes ? […] Voy. les opuscules περὶ Σχημάτων publiés par Valckenaër à la suite de son édition des Synonymes grecs d’Ammonius, p. 184-204  les deux petits traités sur le Barbarisme et le Solécisme, publiés par Boissonade, Anecdota græca, vol.  […] Sur les licences analogues dans la versification française, voyez le traité de M.

17. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8

Monsieur le Professeur, En composant votre Poétique, vous avez voulu offrir aux jeunes étudiants un traité clair, méthodique, complet en même qu’élémentaire, et obvier aux inconvénients que présentent sous quelques rapports les ouvrages du même genre. […] En un mot, votre ouvrage est un excellent Traité de littérature. […] Monsieur le Vicaire général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre Traité de littérature : je veux aujourd’hui vous remercier des services qu’il m’a rendus. […] Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature entre les mains, je me suis mis à le lire et à l’étudier.

18. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446

Mais le traité de Campo-Formio a donné à Votre Majesté ce qui a été constamment l’objet de l’ambition de ses ancêtres5. […] Le traité de Campo-Formio venait d’être ratifié par le Directoire. — Bonaparte, en quittant l’Italie, lui donnait ses derniers conseils. […] Cette victoire amena le traité de Presbourg. […] Par le traité de Campo-Formio. […] Ce traité donnait à l’Autriche la Dalmatie, l’Istrie, les États de Venise jusqu’à l’Adige et au Pô, Venise elle-même, hélas !

19. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »

Eh bien, ce sont là précisément ces Notions de littérature demandées par le règlement nouveau qu’il s’agit d’ajouter aux traités ordinaires de rhétorique, et pour lesquelles nous avons rédigé le présent ouvragé. […] Après un coup d’œil général sur les deux formes de langage (la prose et les vers), vient l’étude des ouvrages en prose, et d’abord celle des discours prononcés : c’est proprement le traité de rhétorique ; puis l’étude du genre épistolaire ; celle du genre didactique ; celle du genre historique et des fictions en prose, c’est-à-dire des contes et romans. […] En réduisant ces deux traités, en les débarrassant du fatras métaphysique auquel les deux écrivains se laissaient trop facilement entraîner ; en augmentant le nombre des exemples, diminuant l’étendue de quelques-uns d’eux et les appropriant davantage au sujet ; en ajoutant enfin quelques détails visiblement oubliés ou omis mal à propos, et redressant quelques jugements ou quelques faits historiques, il nous a semblé qu’on pouvait en tirer un petit volume où ne manquerait rien d’essentiel, et dont le nom des auteurs primitifs, cité à toutes les pages, garantirait d’ailleurs les excellents principes.

20. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -

On pourrait d’ailleurs, dans ce cas, mettre le Traité de la poésie entre les mains des élèves comme livre de lecture : ce qui serait d’autant plus facile à faire que cet ouvrage est, au dire de beaucoup de juges compétents, agréable à lire. […] Plusieurs questions qui, malgré leur importance, trouvent rarement place dans les traités élémentaires, ont été de notre part l’objet d’un soin particulier. […] Mais, sous prétexte de rendre ce traité complet, ne lui avons-nous pas donné une étendue trop considérable ?

21. (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire

Toutefois, le Traité du Sublime ne paraît être qu’un fragment d’un plus important ouvrage, et la lecture attentive de ce précieux traité semble justifier l’opinion émise par quelques critiques, que Longin ne fut que l’abréviateur d’un ouvrage plus étendu, qu’ils attribuent à Denys d’Halicarnasse.. […] Après avoir traité, dans le dernier chapitre du choix des mots, nous allons nous occuper de leur arrangement. […] Dans un de ses traités (Orat. ad M.  […] On peut voir ce qu’en dit Longin dans son Traité du Sublime, traduction de Boileau. […] Mais nous avons déjà traité avec détail de l’emploi des figures, nous y renvoyons le lecteur.

22. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « OBSERVATIONS DE L'AUTEUR. » p. 

La dernière édition de ce Traité d’élégance et de versification latine, malgré l’accueil favorable qu’a daigné lui faire un public judicieux et impartial, dont nous honorons beaucoup le savoir et l’expérience, renfermait encore des imperfections qu’il nous importait de faire disparaître. […] Nous soumettons donc, avec le sentiment que nous inspire un travail sérieux, cette troisième édition de notre Traité d’élégance et de versification à la critique des hommes spéciaux, espérant que leur jugement, s’il est le résultat d’un examen consciencieux, lui sera entièrement favorable.

23. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVII. Genre épistolaire. »

Car nous nous garderons de confondre avec les lettres véritables des ouvrages complets, soit traités philosophiques ou didactiques, soit romans, qui se présentent sous la forme épistolaire ; à peine a-t-on commencé à lire ces prétendues lettres, qu’on voit apparaître un auteur qui parle, non à un ami, mais au public. […] Nous n’avons pas à parler ici du style épistolaire, dont les règles sont d’ailleurs aussi mobiles que l’imagination et la manière d’être de chaque individu ; nous avons traité cette matière au complet dans la première partie (page 108 [1re partie, chapitre VII, § II]).

24. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417

C’est à lui que nous devons ces deux traités si avantageux pour la France ; celui de Westphalie, signé en 1648, et celui des Pyrénées, en 1659. Ce dernier traité fut, suivant le président Hénault, le fruit des réflexions du cardinal Mazarin, qui montra bien, dit-il, que l’art de lire dans l’avenir n’étoit pas une chimère pour les hommes vraiment politiques.

25. (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »

Ses pièces académiques roulent presque toutes sur des sujets trop vagues ou trop étendus pour être traités avec avantage dans les bornes que les convenances académiques imposent à ces sortes de compositions. […] Il faut établir le principe de ces fréquentes inégalités ; faire voir en quoi consistent précisément ces beautés et ces défauts : et s’il reste démontré que leur imitation introduirait parmi nous une école d’autant plus dangereuse qu’elle s’appuierait d’un grand nom et d’exemples séduisants, il en faudra bien conclure que M. de Chateaubriand occupe et conservera un rang à part, et qu’il a traité un genre dans lequel il n’est point à désirer qu’il fasse des imitateurs. […] L’ouvrage enfin fut reçu et traité par les appréciateurs éclairés, avec cette espèce de vénération qu’inspirerait un beau monument échappé aux ravages de la barbarie, et retiré avec peine du milieu des cendres et des ruines. […] Mais la première base d’un traité quelconque, est que les intérêts des parties contractantes soient également respectés de part et d’autre. Or, dans cette alliance de la philosophie et de la poésie, le traité ne fut pas maintenu longtemps dans son intégrité ; et le médiateur lui-même donna l’exemple de l’infraction.

26. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108

Résignons-nous à ignorer l’auteur de cette pièce d’Hellé, dont le sujet, du reste, tenait à ceux du Phrixus, traité par Euripide, et de l’Athamas, traité par Sophocle et par Xénoclès.

27. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

— L’Organon, groupe formé par les traités suivants : Catégories. […] Traité du ciel. […] Traité du monde (sûrement apocryphe). […] Traité des vertus. […] Quant au plan du traité, L. 

28. (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)

Dans aucun de ses ouvrages il n’a porté la perfection plus loin que dans ce traité. […] Brutus, est encore un traité fort important. […] Le célèbre Traité sur l’entendement humain, par M.  […] Harris et quelques autres auteurs, ont écrit de cette manière des traités de philosophie ; mais cela ne suffit pas pour mettre ces traités au nombre des compositions épistolaires. […] Ce genre de poésie peut être traité de différentes manières.

29. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — De la Poétique » pp. 2-4

La Poétique ou l’Art poétique est un traité de l’art de la poésie. […] Par conséquent, ce traité se divisera en deux parties : dans la première, nous parlerons de la poésie en général ; dans la seconde, nous ferons connaître les règles particulières applicables aux différents genres de poésie.

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