., ne sont pas toujours textuellement rappelés ici ; mais des yeux exercés les y retrouveront à chaque page, et c’est surtout ce que je me suis proposé. […] Oui, si les gens sensés, les seuls dont l’opinion puisse être de quelque poids à mes yeux, ont jugé cet ouvrage avec quelque indulgence ; s’ils l’ont distingué des autres compilations du même genre, c’est que mon plan ne leur a point échappé ; c’est qu’ils ont retrouvé, sans doute, à chaque page, à chaque ligne de ce Cours, l’intention bien prononcée de ramener les jeunes gens à la vertu, en les rappelant à l’étude et a l’admiration du beau et du vrai, et de leur prouver qu’il ne peut y avoir ni génie, ni sensibilité sans vertus, comme il ne peut y avoir rien de solide dans le talent, sans les mœurs et la conduite.
Voici encore un chapitre évidemment incomplet, et cependant si plein de minutieux détails, qu’il faudrait bien des pages pour le commenter, si je ne me bornais aux explications les plus nécessaires. […] Προϐλήματα ou ὰπορίαι, et λύσεις, expressions consacrées dans les écoles grecques depuis Aristote, et qu’on retrouve à chaque page des commentaires Alexandrins extraits par le scholiaste de Venise.
On peut rapprocher ce passage d’un morceau de La Rochefoucauld, intitulé « de la Conversation », et que nous avons donné dans ce recueil, page 16. […] Helleu, dans l’édition citée, page 90, rapproche judicieusement ce célèbre passage de quelques lignes tirées de la Politique selon les Ecritures de Bossuet (livre III) : « Dieu a choisi David, et l’a tiré d’après les brebis pour paître Jacob son serviteur, et Israël son héritage. […] Voy dans ce volume le morceau de Retz, intitulé : Une sédition à Paris, page 25.
Comme ce maître de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième. […] J’ai tenu les exemplaires qu’il en avait ; ils sont notés de sa main à chaque page, et j’ai pris garde que la plupart de ses notes étaient des maximes de morale ou de politique qu’il a semées dans ses fables. » 2. […] Des ces deux personnages très-divers, l’un, Picrochole, est de l’invention de Rabelais ; sur le second et ses projets, voyez la 1re épitre de Boileau (Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième, page 135).
. — Dernière page du Génie du Christianisme. […] Cette page fut écrite à l’époque où une crise morale le ramena à la foi ; il disait ailleurs : « Ma mère, après avoir été jetée, à soixante-douze ans, dans des cachots, où elle vit périr une partie de ses enfants, expira dans un lieu obscur, sur un grabat, où ses malheurs l’avaient reléguée. […] Voici une page de M.
On peut affirmer qu’il collabora indirectement aux meilleures pages du Génie du christianisme. […] Joubert n’aurait-il pas fait son oraison funèbre dans cette page que je détache de ses pensées ? […] Ces pages qui donnent du prix aux moindres détails nous font entrer dans l’intimité de cet écrivain charmant.
Cette opinion a pour principal appui le témoignage d’Aristote lui-même, dans une page de sa Politique qu’on trouve ici réimprimée à la suite de la Poétique. […] Dacier et Batteux opposent les mots πολιτιϰός et ῥητοριϰός comme familier et oratoire de même Mme Dacier, dans la Préface de sa traduction de l’Odyssée, page 28, éd. de 1716.
Et que vous servira d’avoir tant écrit dans ce livre, d’en avoir rempli toutes les pages de beaux caractères, puisqu’enfin une seule rature doit tout effacer ? […] Maury, celui qui aurait même composé toutes les poétiques, serait beaucoup moins avancé dans la carrière de l’éloquence, que l’orateur qui aurait profondément senti une seule page de ces discours.
Une page de nos révolutions Je suis ici, je le sais, non devant une assemblée politique, mais devant une académie. […] Cette page m’en rappelle une autre du prince de Ligne, sur la vocation militaire : « Aimez ce métier au-dessus des autres, à la passion ; oui, passion est le mot.
La guerre 1 Les fonctions du soldat sont terribles ; mais il faut qu’elles tiennent à une grande loi du monde spirituel, et l’on ne doit pas s’étonner que toutes les nations de l’univers se soient accordées à voir dans ce fléau quelque chose encore de plus particulièrement divin que dans les autres ; croyez que ce n’est pas sans une grande et profonde raison que le titre de dieu des armées brille à toutes les pages de l’Écriture sainte. […] Ces pages écrites en 1794, au milieu de l’anarchie et des ruines, ont vraiment un accent prophétique qui fait honneur à la clairvoyance du publiciste étranger. […] Rapprochons de ce témoignage rendu par un étranger cette belle page de M.
Plusieurs de ses pages ont l’onction de Fénelon ou la gravité de Nicole. […] Lisez ensuite les Maximes de La Rochefoucauld ; et comparez le sentiment amer que vous laisseront celles-ci à la fraîcheur, au contentement qui pénètre l’âme à la lecture des divines pages de Platon. […] Ces pages sont tirées du Discours préliminaire qui ouvre avec tant d’autorité le Rapport sur les progrès des lettres, publié à l’occasion de l’Exposition universelle, et que recommande le patronage de M.
Pour compléter ce qui reste à dire de la clarté du style, on se reportera à ce qui a été dit sur la clarté de la phrase, dans les leçons précédentes, page 1 [Première partie, chapitre I, section I]. […] On peut lire, pour compléter l’étude du style précis, l’article intitulé : Précision, dans les qualités générales de la phrase, page 14 de ce volume. […] On remarquera que dans cette page, il n’y a ni expression ni phrase inutile : chaque pensée est exprimée avec assez de développement pour être facilement comprise. […] On pourra lire cette page dans le deuxième volume. […] M. de Lacépède, dans le morceau intitulé : Causes de la décadence de l’empire romain, nous présente une page où sont réunies ces différentes qualités.
Et qui, voyant un fat s’applaudir d’un ouvrage Où la droite raison trébuche à chaque page, Ne s’écrie aussitôt : L’impertinent auteur ! […] Vous aurez beau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom sacré sanctifier vos pages : Qui méprise Cotin n’estime point son roi, Et n’a, selon Cotin, ni Dieu, ni foi, ni loi. […] C’est le tremulis flammis de Virgile dans les Églogues, VIII, 105. — Il est seulement fâcheux que cette expression soit répétée dans la page suivante.
Si le public applaudit surtout sa tragédie de Marie Stuart, c’est que la popularité va de préférence aux œuvres de théâtre ; car ses autres pages ne sont pas moins dignes d’attention. […] Je tressaille en songeant aux paisibles soirées, Sous les regards du maître, au devoir consacrées, Quand, devant le pupitre en silence inclinés, Nous n’entendions parfois, de nous-même étonnés, Que, d’instant en instant, quelques pages froissées ; Ou l’insensible bruit des plumes empressées, Qui, toutes à l’envi courant sur le papier, De leur léger murmure enchantaient l’écolier.
Peintre d’animaux, il a tracé des pages accomplies. […] Cette page justifie par son air grandiose ce mot appliqué à Buffon, comme à Pline : « son génie égale la majesté de la nature ». […] Le même sentiment se retrouve dans cette page de Lacordaire : « Souvent, dans ma jeunesse, j’ai gravi les hautes montagnes. […] Voici une belle page contre la guerre écrite par Jean Bodin (1530-1596) l’auteur de la République.