» Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit : « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. » Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant : « Caramba2 !
Rien assurément ne saurait remplacer ces travaux préliminaires, qui réclament de l’assiduité, de la persévérance ; ce sont des espèces de fondations qu’il faut jeter pour soutenir l’édifice, des bases qu’il faut établir, avant le moment des épreuves d’un examen ; mais ce n’est pas la veille qu’on petit y songer, et l’on ne doit pas non plus compter sur la préparation hâtive de quatre ou cinq mois, pour réparer les brèches d’une éducation classique tronquée, imparfaite, quelquefois nulle. […] Cette espèce de Conciones Français, formée d’éléments qui méritent d’être considérés comme des modèles, où chacun a le loisir d’étudier le plan, d’approfondir l’ensemble des idées, pour en tirer profit à l’occasion, m’a semblé pouvoir être d’une véritable utilité pratique ; et du reste, j’en ai fait d’heureux essais avec un grand nombre de mes élèves. […] Il en est de même pour l’espèce humaine. […] … « Je ne parle pas de l’espèce d’insulte que vous faites aux Lacédémoniens, si vous renoncez aux droits que la victoire vous donne sur Athènes.
Non, mais à la vie de la plante et à la perpétuité des espèces. […] L’orateur a étudié attentivement son sujet, il s’est assuré que le fait a eu lieu, il en a déterminé l’espèce, il a trouvé le point capital de la cause.
. – Caractériser ces différentes espèces d’écrits et citer, en les appréciant très brièvement, les écrivains français qui se sont distingués dans chacune d’elles. […] Quelles sont les diverses espèces de vers français, et les combinaisons variées de rhythme auxquelles se prête particulièrement la poésie lyrique ?
Cette espèce de mesure coulante, cette division régulière et bien proportionnée des membres qui la composent, cette mélodie qui se fait sentir à la fin de chaque membre, et surtout cette belle chute auxisse videamini, tout, en un mot, contribue à la rendre parfaitement élégante. […] Il importe donc, pour la clarté du discours, de soumettre ces sortes de phrases à une analyse rigoureuse, et d’apprendre aux jeunes élèves à distinguer les différentes espèces de propositions, et le rôle que chacune d’elles joue dans la phrase dont elle fait partie.
Cette dernière proposition respire bien franchement l’espèce de confiance qu’inspire au sauvage le sentiment de sa force ; et l’énergique concision de ce petit discours, où chaque mot est une pensée, et une grande pensée, caractérise parfaitement l’éloquence de la nature : on sent que c’est ainsi qu’un barbare a dû parler.
Veut-on savoir ce que pensait l’Ecclésiaste de cette espèce de philosophie ?
Une espèce de sauvage, presque nu, pâle et miné par la fièvre, garde ces tristes chaumières : on dirait qu’aucune nation n’a osé succéder aux maîtres du monde dans leur terre natale, et que les champs sont tels que les a laissés le soc de Cincinnatus, ou la dernière charrue romaine.
Ce qui distingue la réputation de la gloire, c’est que l’une est le jugement de quelques-uns, et que l’autre est celui du plus grand nombre, de la majorité dans l’espèce humaine.
Cinquième espèce de mots.
Sénèque avait dit, dans son traité de la Providence, ch. 3 : « Scit eum sine gloria vinci qui sine periculo vincitur. » — Corneille, plus qu’aucun autre de nos auteurs, offre une foule de ces pensées, énergiquement rendues, que le bonheur de l’expression grave dans toutes les mémoires et qui deviennent des espèces d’adages, consacrés par l’admiration populaire.
Entre toutes les espèces d’animaux, l’homme seul a la raison en partage. — 3. […] Les Égyptiens consacrèrent presque toutes les espèces de bêtes, le chat, l’ibis, le crocodile. Ils rendaient surtout un culte au bœuf Apis et au chien Anubis ; ils révéraient encore certaines espèces d’oiseaux, et se prosternaient devant de hideuses ou ridicules images d’animaux. […] L’espèce de tuiles dont se servaient les Romains avait un pied de long, et un demi-pied de large. — 6. […] L’espèce de figues appelées cariques fut importée de Syrie dans la campagne d’Albe par Lucius Vitellius, celui qui fut ensuite censeur. — 9.
Il faut aimer la religion comme une espèce de patrie et de nourrice ; c’est elle qui a allaité nos vertus, et avec elles nous donne le bonheur. » 2.
C’est le propre de ce vice, qui n’est fondé ni sur le mérite personnel ni sur la vertu, mais sur les richesses, les postes, le crédit, et sur de vaines sciences, de nous porter également à mépriser ceux qui ont moins que nous de cette espèce de biens, et à estimer trop ceux qui en ont une mesure qui excède la nôtre2.
Mais je demande la permission de faire ici une espèce d’apologue : les inventeurs de l’architecture qu’on nomme gothique, et qui est, dit-on, celle des Arabes, crurent sans doute avoir surpassé les architectes grecs.