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207. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440

L’aurore  L’aurore1 brillante et vermeille2 Prépare le chemin au soleil qui la suit ; Tout est aux premiers traits1 du jour qui se réveille : Retirez-vous, démons, qui volez dans la nuit.

208. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446

. — « Les Italiens l’accompagnèrent de leurs regrets et virent avec peine s’évanouir cette brillante apparition. » (M.

209. (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-

Sur ce vaste forum romain, les discours n’étaient pas, comme chez nous, des monologues brillants, mais de véritables dialogues, où la foule répondait aux traits de l’orateur par son rire, ses larmes, ses murmures et ses applaudissements.

210. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »

Voilà le brillant tableau qu’offrent les vingt premières années de ce règne mémorable.

211. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400

Jamais on ne le voit sortir du grand seigneur1 ; Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne cite jamais que duc, prince ou princesse.

212. (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885

. — La période athénienne de la littérature grecque est la plus brillante de toutes : Athènes a été, en effet, surtout à l’époque de Périclès, le principal foyer intellectuel et artistique, après que les guerres Médiques avaient déjà montré sa supériorité sur les autres cités grecques à tous les points de vue. […] Ils se résument dans cette belle définition qu’il donne de l’homme éloquent : « L’homme digne d’être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu. » Aussi condamne-t-il les vains ornements où se complaisent les déclamateurs fleuris, qui « énervent les plus grandes vérités par un tour vain et trop brillant. » La vraie éloquence, pour lui, est celle qui « ne tend qu’à persuader et à émouvoir les passions », où « tout instruit et touche », mais où « rien ne brille. »« Le véritable orateur », dit-il encore « n’est point esclave des mots : il va droit à la vérité ; il sait que la passion est comme l’âme de la parole ; il pense, il sent, et la parole suit. » C’est pourquoi il préfère de beaucoup Démosthène à Cicéron : « le premier, dit-il, se sert de la parole comme un homme modeste de son habit pour se couvrir ; on pense aux choses qu’il dit, et non à ses paroles » ; tandis qu’il y a trop de parure dans les discours de Cicéron ; l’art y est merveilleux, mais on l’entrevoit, « et il se décrédite en se montrant. » En résumé, Fénelon, des trois conditions que Cicéron assignait à l’Éloquence : prouver, plaire, toucher (docere, delectare, flectere), supprime la seconde, ou plutôt la modifie, en disant que l’orateur doit se borner à peindre ce qu’il dit, sans chercher à éblouir ni à charmer par les prestiges de son discours, et cette ingénieuse correction doit être pleinement approuvée, surtout en ce qui concerne l’Éloquence de la chaire, que Fénelon avait principalement en vue. […] Enfin dans la troisième partie, on mentionnera le chapitre XXXII, où Voltaire fait un tableau brillant de la Littérature au xviie  siècle. […] Plan. — Bossuet éprouve un vif désir de tirer de sa situation précaire le brillant écrivain et de lui assurer une existence exempte des pénibles nécessités et des soucis qui étouffent le génie ou l’empêchent de se produire.

213. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338

Vois d’un œil de pitié la vulgaire jeunesse, Brillante de beauté, s’enivrant de plaisir : Quand elle aura tari sa coupe enchanteresse, Que restera-t-il d’elle ?

214. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177

Vous m’inspirez enfin de la curiosité ; il faut voir du moins des choses si précieuses : envoyez-moi cet habit et ces bijoux de Philémon ; je vous quitte de la personne1 Tu te trompes, Philémon, si, avec ce carrosse brillant, ce grand nombre de coquins qui te suivent, et ces six bêtes qui te traînent, tu penses que l’on t’en estime davantage.

215. (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.

Au fond le plus solide, il ajoute la forme la plus brillante ; et il arrive, dans son style, à une correction, une grâce, une harmonie, une perfection vraiment inimitable.

216. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »

Les actions héroïques travesties de la sorte fournissent à la diction même des traits d’autant plus agréables, que les pensées brillantes et les vers frappants de l’original sont plus ingénieusement adaptés dans la parodie.

217. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -

Pourquoi faut-il que des médailles si nettes, si brillantes encore, malgré leurs services séculaires, ne soient plus en circulation ?

218. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Si David, dans le cours de son règne brillant, eut quelques faiblesses, il fut du moins un parfait modèle de pénitence.

219. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378

Il n’est plus, cet homme à qui il a été donné de rendre la négligence même de l’art préférable à son poli le plus brillant !

220. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

Je ne veux pas dire que ces dehors brillants d’une politesse précoce ne cachaient pas de féroces instincts.

221. (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-

Cette méthode est peut-être la moins brillante, mais elle est sans contredit la plus praticable et la plus sûre.

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