Il était fils de Bacchus et de Vénus. […] Robert, son sixième fils, fut le chef de la maison de Bourbon. […] Prométhée, fils de Japet, qui, suivant la fable, était lui-même fils du Ciel et de la Terre. […] Elle épousa, en 1697, le duc de Bourgogne, fils aîné du grand dauphin. […] Peu de temps après, il fut assassiné dans ses États par ses deux fils aînés.
Il ne me restait plus qu’à condamner mon fils. […] Ainsi le veut son fils que les Grecs vous ravissent. […] Ce fils, que de sa flamme il me laissa pour gage ? […] Mais allons voir mon fils. […] Mais son fils périssait, il l’a fallu défendre.
Le père délivré par son fils. […] Keoven livre son fils. […] -C. ; il eut pour fils Agésilas. […] Arrivée de ce fils coupable. […] Il courut à la prison chercher son fils ; le fils et le père confondirent leurs larmes.
mon fils, es-tu toujours impitoyable ? […] Mon fils, veux-tu mourir ? […] Parle, parle, mon fils, quel chagrin te consume ? […] — Ma mère, adieu, je meurs, et tu n’as plus de fils. Non, tu n’as plus de fils, ma mère bien-aimée.
Marc-Aurèle recommande à ses amis son fils Commode. […] Vous voyez mon fils qui a été élevé par vous-mêmes. […] -C.) aux deux fils de Pompée, mit fin à la guerre civile. […] mon fils, ajouta-t-elle, pourquoi garder le silence ? […] noble fils, pourquoi n’enchaînes-tu pas ton père ?
Moi, votre fils ! […] Moi, votre fils ! […] Moi, votre fils ! […] Ma fille, mon cher fils, embrassez votre père1. […] mon fils, à ces mots j’eusse expiré sans toi.
Conseils de d’Aguesseau à son fils aîné sur la religion. Vous venez, mon cher fils, d’achever le cercle ordinaire de l’étude des humanités et de la philosophie ; vous l’avez rempli avec succès : je vous en félicite de tout mon cœur, je m’en félicite moi-même, ou plutôt nous devons l’un et l’autre en rendre grâces à Dieu, de qui viennent tous les biens dans l’ordre de la nature comme dans celui de la grâce… L’étude de la religion, mon fils, doit être le fondement, le motif et la règle de toutes les autres. […] Par rapport au premier point, c’est-à-dire l’étude des preuves de la vérité de la religion, je ne crois pas avoir besoin de vous avertir, mon cher fils, que la persuasion, ou la conviction à laquelle on peut parvenir en cette matière par l’étude et par le raisonnement, ne doit jamais être confondue ni même comparée avec la foi, qui est un don de Dieu, une grâce singulière qu’il accorde à qui lui plaît, et qui exige d’autant plus notre reconnaissance, que nous ne la devons qu’à la bonté de ce Dieu, qui a bien voulu prévenir en nous la lumière de la raison même par celle de la foi. […] On ne saurait trop se remplir de ces pensées et de ces sentiments, dans l’âge où vous êtes, mon cher fils. […] Ce n’est pas, mon cher fils, que je veuille vous conseiller d’entrer en lice avec ceux qui voudraient disputer avec vous sur la religion : le meilleur parti, pour l’ordinaire, est de ne point leur répondre, et de ne leur faire sentir son improbation que par son silence.
Agrippine quitte donc l’armée de son époux, portant dans ses bras son fils encore en bas âge, et traînant à sa suite les femmes de ses amis, éplorées comme elle. […] Dans ce moment où je vais cesser d’être, j’ai la consolation de voir que vous me survivrez, vous que le ciel m’a donnés pour fils. […] « Mon fils, au nom des nœuds sacrés qui unissent les pères et les enfants, je l’en conjure, mon cher fils ! […] j’ai pu rendre Annibal favorable à mon fils, et je ne pourrai rien sur mon fils pour Annibal ! […] vous qui avez assiégé le fils de votre empereur dans son propre camp ; citoyens ?
Sa pensée n’osa aller plus loin. — Madame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat… Et mon fils ? […] Mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? […] mon cher fils ! […] Terre de son fils, dans le pays Nantais. […] C’est le tableau très-éloquent de la douleur d’une mère apprenant la mort de son fils.
Épouse de Joad, est-ce là votre fils ? […] Voilà mon fils. […] Comme votre fils ! […] Assis, par un tour inversif, se rapporte à fils. […] Or, le roi Achab avait soixante et dix fils, qui étaient nourris chez les premières personnes de la ville (Samarie).
Ils avaient fait ici une manière d’entrée à mon fils ; Vaillant avait mis plus de quinze cents hommes sous les armes, tous fort bien habillés, un ruban neuf à la cravate ; ils vont en très-bon ordre nous attendre à une lieue des Rochers. […] Inquiétudes de madame de Sévigné pour sa fille et son fils. […] Et mon fils ? […] mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? […] mon cher fils !
Ô fils de Marc-Aurèle ! […] « C’est mon fils ! arrêtez ; cessez, troupe inhumaine, C’est mon fils ! […] c’était son fils. […] Qu’il règne donc, ce fils, ton soin et ton ouvrage !
Fils et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au collége de Clermont, puis dirigé vers l’étude du droit, Jean-Baptiste Poquelin suivit son étoile, et, sous le nom de Molière, devint directeur d’une troupe ambulante, sans se laisser tenter par la faveur du prince de Conti, son condisciple, qui lui offrait une charge de cour. […] Nous avons le fils d’un gentilhomme de notre village qui est le plus grand malitorne2, et le plus dadais que j’aie jamais vu. […] J’ai souhaité un fils avec des ardeurs non pareilles ; je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils, que j’obtiens en fatiguant le ciel de mes prières, est le chagrin et le supplice de cette vie même, dont je croyais qu’il devait être la joie et la consolation. […] Apprenez enfin qu’un gentilhomme qui vit mal est un monstre dans la nature ; que la vertu est le premier titre de noblesse ; que je regarde bien moins au nom qu’on signe qu’aux actions qu’on fait, et que je ferais plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d’un monarque qui vivrait comme vous1. […] Jourdain rougit d’être le fils de son père..
Blessé, ou plutôt tué, dans un combat sur le rivage d’Ithaque, par Télégonus, le fils qu’il avait eu jadis de Circé. […] Plutarque, De l’Usage des viandes, II, 5 Hygin, Fables 137, 184. — Voltaire, Lettre à Maffei, en tête de sa Mérope : « Aristote, cet esprit si étendu, si juste et si éclairé dans les choses qui étaient alors à la portée de l’esprit humain, Aristote, dans sa Poétique immortelle, ne balance pas à dire que la reconnaissance de Mérope et de son fils était le moment le plus intéressant de toute la scène grecque. […] Mais, d’après le récit d’Hygin, Fable 8, ce n’est pas un fils d’Antiope qui va la livrer à la mort, mais ses deux fils, qui, la reconnaissant sur les indices d’un berger, viennent à son secours et la sauvent.