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169. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Il mérita, par ses grandes connaissances dans les affaires civiles, d’être élevé à la dignité de chancelier d’Angleterre, et par ses vertus évangéliques, d’être placé sur le siège archiépiscopal de Cantorbéry.

170. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »

Il n’en est pas de même du philosophe, pour qui il n’y a point de situation particulière et qui doit définir rigoureusement suivant les principes généraux des connaissances humaines.

171. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281

Un jeune homme sensible, mais sans aucune connaissance, ne distingue point d’abord les parties d’un grand chœur de musique ; ses yeux ne distinguent point d’abord dans un tableau les gradations, le clair-obscur, la perspective, l’accord des couleurs, la correction du dessin ; mais peu à peu ses oreilles apprennent à entendre, et ses yeux à voir.

172. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70

Comme, dans les genres élevés, les acteurs qui parlent ont des idées et des connaissances supérieures à celles du vulgaire, l’élévation, la force, la grandeur, la finesse, la richesse des pensées doivent y régner : tout y doit être or et pourpre.

173. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs

Ces passages et les notes qui, à l’occasion, les accompagnent peuvent contribuer à satisfaire ou à développer chez l’élève la curiosité et le goût des œuvres d’art, dont la connaissance, s’alliant heureusement à celle des œuvres littéraires, entre de plus en plus dans l’éducation, à provoquer ses visites dans nos musées, à fixer son attention sur nos monuments. […] Mais, comme un homme qui marche seul est dans ténèbres, je me résolus d’aller si lentement et d’user de tant de circonspections en toutes choses, que, si je n’avançois que fort peu, je me garderois bien au moins de tomber : même je ne voulus point commencer à rejeter tout à fait aucune des opinions qui s’étoient pu glisser autrefois en ma créance sans y avoir été introduites par la raison, que je n’eusse aupavant employé assez de temps à faire le projet de l’ouvrage que j’entreprenois, et à chercher la vraie méthode pour parvenir à la connaissance de toutes les choses dont mon esprit seroit capable.

174. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »

Ce trope fait un très bon effet dans l’élocution, c’est un appel adroit aux connaissances historiques des lecteurs, qui se trouvent ainsi flattés et satisfaits. […] Quand on entend parler, le ton de la voix indique clairement l’ironie, mais quand on lit, il est plus difficile de remarquer la figure ; il faut avoir connaissance des sentiments de celui qui parle et du mérite de la chose ou de la personne qu’on tourne en raillerie.

175. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

On distingue dans l’apologue deux parties, l’action même ou le récit ; dans lequel on expose tout ce dont on veut déduire une connaissance morale, et la moralité, c’est-à-dire la proposition qui résulte du récit allégorique de l’apologue.

176. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378

  Sans lui, j’aurais fait connaissance Avec cet animal qui m’a semblé si doux8   Il est velouté comme nous, Marqueté, longue queue9, une humble contenance, Un modeste regard, et pourtant l’œil luisant.

177. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123

La connaissance qu’elle a des affaires de son État, et son jugement exquis, lui feront démêler ce qui sera solide et réel d’avec ce qui ne sera qu’apparent.

178. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »

Il voudrait être l’unique souverain de l’univers, et le seul dépositaire des connaissances humaines. » Nous mettons sous les yeux des élèves un portrait bien détaillé du prince Potemkin, que nous devons la plume spirituelle du prince de Ligne ; Et un second exemple fort amusant, intitulé le Portrait, dont l’auteur est le duc de Lévis.

179. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

Mais c’est un art exquis, le seul pur, le seul légitime, celui qui n’est inspiré que par la connaissance des hommes et par le désir de les persuader, celui qui .met autant de soin à se cacher que l’art des rhéteurs en met à se montrer, celui enfin qui a fait dire à Pascal que la vraie éloquence se moque de l’éloquence.

180. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143

On goûte un plaisir, une jouissance incroyable dans la connaissance de la vérité.

181. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles

En travaillant à décomposer une œuvre qu’on sait par cœur, on sera surpris d’avoir jusqu’alors laissé dans l’oubli des beautés surprenantes et lorsqu’on ouvrira un livre inconnu, on n’aura pas lu deux pages, qu’on aura porté sur son mérite un jugement raisonné: car tel est l’effet de l’exercice de la décomposition, c’est de nous initier avec une étonnante célérité à la connaissance du beau en littérature. […] Il n’a aucune connaissance , et veut en remontrer aux artistes. […] Toutefois, sans la connaissance de Dieu, peut-il exister un solide bonheur ? […] Mes ouvrages sont d’un grand secours à tous ceux qui veulent entrer dans les secrets de la nature, et surtout à ceux qui s’élèvent jusqu’à la connaissance des génies et des habitants élémentaires. […] Ne savez-vous pas que, par un pouvoir dont la source se perd dans les âges, il oblige les voyageurs qui traversent la forêt, à séjourner plus ou moins de temps dans le château, pour qu’il puisse acquérir une connaissance parfaite de leurs bonnes qualités ?

182. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

Préface Les deux volumes de notre cours supérieur ont pour objet principal d’initier sérieusement à la connaissance de l’histoire de la littérature française depuis Malherbe et Pascal ; étude à laquelle il n’a pas encore été fait une assez large part dans le programme des humanités. […] Il est naturel, facile, fécond, décent ; il peint habilement les mœurs, sans que ses meilleures pièces, le Glorieux, le Philosophe marié, le Dissipateur, ajoutons l’Irrésolu, laissent voir en lui beaucoup de verve et d’originalité, ni une connaissance bien fine et bien perspicace des hommes et de la société.

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