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213. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bossuet 1627-1704 » pp. 65-83

C’est un effet de son ardeur, et son ardeur vient de sa force, mais d’une force mal réglée.

214. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440

Vient de pater noster.

215. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427

Citons encore ces vers qui feront mieux valoir les précédents : Mais de Diane au ciel l’astre vient de paraître ; Qu’il luit paisiblement sur ce séjour champêtre !

216. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446

Rappelons la chanson de Béranger, le Vieux Drapeau, dont voici les premières strophes (édition Garnier frères, p. 284) : De mes vieux compagnons de gloire Je viens de me voir entouré ; Nos souvenirs m’ont enivré, Le vin m’a rendu la mémoire.

217. (1839) Manuel pratique de rhétorique

La plaisanterie (sel léger qui ne doit être ni fade ni trop piquant) doit être rare, placée à propos, fine plus encore que mordante, également éloignée de la plate bonhomie qui est contraire au bon goût, des allusions qui choquent la délicatesse ou les mœurs, et de la satire amère qui vient de la méchanceté du cœur. […] Bossuet et Fléchier en fournissent de beaux exemples ; le premier dans l’oraison funèbre de Madame : « Non, après ce que nous venons de voir, la santé n’est qu’un nom, la vie n’est qu’un songe, la gloire n’est qu’une apparence, les forces ne sont qu’un dangereux amusement : tout est vain en nous, excepté le sincère aveu que nous faisons devant Dieu de nos vanités, et le jugement arrêté qui nous fait mépriser tout ce que nous sommes. […] Mais Sextus vient de me lancer un de ces regards qu’il lançait à tous lorsqu’il menaçait de tout détruire.

218. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77

Sur ces entrefaites, on annonce à Germanicus, qui était occupé à percevoir l’impôt dans les Gaules, qu’Auguste venait de mourir. […] Si vous venez de bonne heure, on louera votre diligence.

219. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Ce que je viens de dire, peut faire assez comprendre en quoi consiste le sublime d’une pensée.

220. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262

Outre les figures grammaticales dont nous venons de parler, il en est d’autres qui tiennent, si l’on peut dire ainsi, moins au corps qu’à l’âme du discours, et que l’on emploie pour donner plus de couleur, plus de variété au style ; plus de grâce, plus de noblesse, plus de vivacité à la pensée. […] Outre les figures grammaticales et les tropes, dont nous venons de parler, il en est qui sont plus spécialement du domaine de la pensée, et dont la littérature se réserve la connaissance et l’usage. […] Quæstui sunt omnia munia, toutes les fonctions sont vénales. — Compendium (de pendere cum), gain, profit qui vient de son épargne.

221. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338

L’eau du baptême qu’il vient de recevoir a été pour lui comme une liqueur capiteuse qui enivre.

222. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »

On vient de voir que la perfection d’une histoire consiste en grande partie, dans l’exposition et la liaison des faits, dont la vérité est bien constatée ; dans le détail des grands événements et de leurs circonstances essentielles ; dans le développement des négociations importantes, et dans l’expression fidèle des caractères des personnages.

223. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204

Que le Midi, que l’Orient, que les îles inconnues les attendent, et les regardent en silence venir de loin.

224. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

C’est votre testament que vous venez de faire.

225. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

., par Didon, venue de Phénicie, qui y fit bâtir la forteresse appelée depuis Byrsa.

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