(Boileau, Art p. […] (Boileau, Art p. […] (Boileau, Art. p. […] (Boileau, Art p. […] (Boileau, Sat.
Correction La Correction consiste d’après Boileau, à éviter les barbarismes et les solécismes. […] Boileau. […] Boileau, Satire III. […] Boileau insiste beaucoup sur cette qualité dans son Art poétique : Un auteur quelquefois trop plein de son objet, Jamais sans l’épuiser n’abandonne un sujet. […] Ce que Boileau nous recommande en ces termes : Gardez qu’une voyelle à courir trop hâtée Ne soit d’une voyelle en son chemin heurtée.
Boileau s’eu est évidemment inspiré. […] (Boileau.) […] Ce défaut est bien rare chez Boileau. […] La raison est la Muse de Boileau. […] Horace l’a dit en latin avant Boileau.
Vous supposerez que Boileau écrit à Boursault pour réfuter ses critiques. (16 novembre 1883). […] Il est peu probable que Boileau se soit servi de ce modèle, et l’on peut suffisamment expliquer les ressemblances entre les deux œuvres par la source commune où elles ont puisé, Vauquelin de la Fresnaye ayant imité Horace avant Boileau. […] Il y fut rétabli sur les instances de Boileau. […] Composer la lettre de Boileau à Colbert. […] Boileau ne consentira jamais à continuer de toucher sa pension si Corneille est privé de la sienne.
Aux traces d’exagération et d’inexpérience qui s’y découvrent se mêlent des beautés du premier ordre : des éteincelles de génie brillent dans son ode sur le jugement dernier1 ; et la vigueur originale, la véhémence et l’éclat qui distinguent son éloquente invective contre les vices de son siècle attestent à quel point Gilbert, digne successeur de Régnier et de Boileau, était capable de féconder encore et d’agrandir le champ de la satire2. […] J’ai vu l’enfant gâté de nos penseurs sublimes, La Harpe, dans Rousseau trouver de belles rimes ; Boileau, correct auteur de libelles amers1, Boileau, dit Marmontel, tourne assez bien un vers : Et tous ces demi-dieux, que l’Europe en délire A depuis cent hivers l’indulgence de lire, Vont dans un juste oubli retomber désormais, Comme de vains auteurs qui ne pensent jamais ! […] On retrouvera le même mouvement dans Boileau (satire II) : Maudit soit le premier dont la verve insensée Dans les bornes d’un vers enferma sa pensée… 1. Allusion à ce début de l’épître de Voltaire à Boileau : Boileau, correct auteur de quelques bons écrits… Mais on sait qu’un autre jour Voltaire, mieux inspiré, a prononcé un mot dont eût dû profiter Marmontel : « Ne disons pas de mal de Nicolas (c’était le prénom de l’illustre satirique) : cela porte malheur. » 2. […] L’imitation de Boileau perce dans tout ce passage.
Boileau, Lutrin, chant II, vers 105 et suiv.) […] Boileau a du talent, de l’esprit, beaucoup de goût, peu d’imagination. […] Boileau a consacré cette proscription par ses préceptes. […] Pour Boileau, elle la résume tout entière. […] Le Lutrin de Boileau).
Les quatre poétiques les plus célèbres sont celles d’Aristote, d’Horace, de Vida et de Boileau. […] Boileau. […] Trois choses surtout concourent à donner une valeur considérable à la poétique de Boileau : la difficulté de l’entreprise, la beauté des vers et l’utilité de l’ouvrage. […] Dans le premier chant et dans le quatrième, Boileau donne les règles générales de la poésie : qualités du style, versification, nécessité de corriger son travail et de consulter des critiques éclairés. Une courte digression renferme l’histoire de la poésie française depuis Villon jusqu’à Malherbe. — Le second chant traite du genre pastoral, de l’élégie, de l’ode, du sonnet, de l’épigramme et de quelques autres poésies fugitives, et de la satire. — Dans le troisième chant, le poète expose en détail les règles relatives à la tragédie, à l’épopée et à la comédie. — Boileau est beaucoup plus complet que ses prédécesseurs ; cependant, il n’a parlé ni de la fable, ni de l’opéra, ni de la poésie didactique ; et cette regrettable lacune n’a pu être comblée jusqu’à ce jour, malgré les tentatives de quelques auteurs.
Nous pouvons citer en ce genre les Géorgiques, de Virgile, l’Art poétique d’Horace, celui de Boileau, etc. […] Nous citerons en ce genre les satires sur la noblesse, d’Horace, de Juvénal et de Boileau. […] Il est fâcheux pour la gloire de Boileau, dont la critique est ordinairement saine, qu’il se soit laissé entraîner par la prévention contre le Tasse et Quinault. […] Boileau a quelquefois violé ces règles ; il a pris plaisir à tourner en ridicule l’indigence de quelques écrivains médiocres de son temps ; et en cela il ne doit pas être imité. […] Un autre danger, que nous avons déjà signalé, c’est de tomber, comme l’a fait Boileau, dans des personnalités toujours dangereuses.
Boileau était trop préoccupé de l’imitation de l’antiquité païenne pour comprendre que la poésie moderne doit reposer sur des bases nouvelles. […] Boileau, Art poét. […] Boileau, Art poét. […] Boileau a dit : Que le début soit simple et n’ait rien d’affecté. […] Boileau : le Lutrin.
Mais Boileau, dans son Art poétique imité d’Horace, développé, ordonné et surtout embelli, a tellement surpassé et ses devanciers et ses successeurs, que c’est celui qu’on cite toujours d’abord. […] Au-dessous de Boileau, et à une place très élevée encore, il faut mettre L. […] Boileau même est de ce nombre. […] Au reste, le plus parfait exemple que nous ayons dans notre langue du récit épique, c’est à Boileau que nous le devons. […] Le Lutrin de Boileau est le chef-d’œuvre de ce genre.
(Boileau.) […] (Boileau.) […] (Boileau.) […] (Boileau.) […] Voyez les satires de Boileau.
C’est pour cela que Boileau enseignait à Racine à faire difficilement des vers faciles. […] Boileau, Art poét. […] Boileau. […] Boileau.
» Cette qualité caractérise surtout les éloges de Boileau à Louis XIV. […] Boileau a rendu cette image d’une manière encore plus expressive : Le chagrin monte en croupe ; et galope avec lui. […] 17° Pensées nobles Boileau a dit avec raison dans une de ses satires : La vertu d’un cœur noble est la marque certaine. […] Voltaire, par exemple, s’est plu à refaire une grande partie des tragédies de Crébillon ; Corneille et Racine ont composé une tragédie sur le morne sujet, Bérénice ; Boileau, comme Horace et Lafresnais-Vauquelin, a composé un art poétique ; Horace, Boileau et Régnier ont encore écrit une satire sur un festin ; la Phèdre de Racine a été malheureusement éclipsée un instant par celle de Pradon. […] Boileau dit que les transitions sont ce qu’il y a de plus difficile dans l’art d’écrire : aussi rien ne donne plus d’agrément et de force même au discours que la liaison parfaite des idées dont il se compose.