/ 275
257. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533

On y trouve et on y a relevé avec bien de l’amertume quelques traits vaniteux dont la naïveté même est une grâce de plus ; on n’y trouve pas un sentiment mauvais !

258. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -

Quelque temps après, vers 1530, l’année même où Louis Berquin fut brûlé en place de Grève, il étudiait la médecine à Montpellier, et apprenait à y connaître de près les bons tours de ces étudiants qu’il représentera au vif sous les traits de Panurge.

259. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55

Il ne veut pas peindre tel ou tel individu, mais il crée des types avec les traits essentiels que lui fournissent les originaux vivants.

260. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387

» Qu’à l’occasion d’un fait ou d’une observation, une sentence courte et vive, un trait d’esprit ou d’imagination se détache de l’ensemble en affectant le plus souvent la forme exclamative115, cette espèce d’exclamation se nomme épiphonème : Tant de fiel entre-t-il dans l’âme des dévots !

261. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »

Le monde idéal appelle les faits possibles ; l’imagination en tire des êtres, à qui elle donne, en suivant les règles de la vraisemblance, tous les traits d’une existence propre.

262. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »

Ce n’est que dans cette source divine, qu’il pourra puiser ces grands traits de lumière, qui éclairent l’homme sur ses devoirs ; cette morale pure et sublime, dont la pratique peut seule faire son bonheur. […] Jamais Orateur ne les a peints sous des traits plus marqués, n’a fait des portraits aussi ressemblants.

263. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

Ce n’est que dans cette source divine qu’il pourra puiser ces grands traits de lumière qui éclairent l’homme sur ses devoirs, cette morale pure et sublime dont la pratique peut seule faire son bonheur. […] Tout cet intervalle qui s’est écoulé depuis votre naissance jusques aujourd’hui, ce n’est qu’un trait rapide qu’à peine vous avez vu passer.

264. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600

Ponsard a bien fait de conserver ces traits de réalité.

265. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322

La métaphore est partout : ici, tellement familière qu’elle se confond avec le langage commun ; là, si neuve et si brillante qu’elle réveille par le piquant et éblouit par l’éclat de ses traits.

266. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »

La familiarité et la simplicité de la conversation permettent souvent le pathétique ; on s’attendrit volontiers en parlant de ses intérêts ; une larme ou seulement l’expression vive de la douleur sur les traits du visage, est plus éloquente que toute une argumentation. […] Remarquez 1° que l’enjambement est de trois syllabes ; 2° que le poète a soin de faire courir tout d’un trait sa phrase jusqu’au bout du vers, pour faire excuser son enjambement ; 3° qu’en supprimant les mots : qui sait mal farder la vérité, il y aurait une belle césure : Il y a en effet un sens profond dans le mot soldat.

267. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »

Nous en citerons, entre autres, le trait suivant.

268. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bossuet 1627-1704 » pp. 65-83

Ce trait est une réminiscence d’Aristote : « Comme les gens pris de vin, ils s’échauffent. » 3.

/ 275