Les exemples pleins de noblesse que la poésie, l’éloquence et l’histoire présentent souvent à nos esprits, tendent naturellement à nourrir dans nos âmes le patriotisme, l’amour de la gloire, le mépris des injures, et l’admiration pour ce qui est réellement grand et éclatant. […] Il leur reproche leur vénalité, leur indolence, leur tiédeur pour la cause publique, tandis qu’en même temps, avec tout le talent d’un grand orateur il leur rappelle la gloire de leurs ancêtres, qu’ils forment encore un peuple puissant et florissant, protecteur naturel des libertés de la Grèce, et qu’il ne leur manque que la volonté pour faire trembler Philippe. […] Sa gloire littéraire et la célébrité que lui procurèrent ses écrits polémiques le précédèrent à la tribune. […] non, sans doute ; brillant de gloire, il avançait dans l’immensité de l’espace et répandait sur l’univers la fécondité et la lumière. […] Je suppose que c’est ici votre dernière heure, et la fin de l’univers ; que les cieux vont s’ouvrir sur vos têtes, Jésus-Christ paraître dans sa gloire an milieu de ce temple, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’y attendre, comme des criminels tremblants à qui on va prononcer ou une sentence de grâce, ou un arrêt de mort éternelle.
ne souille point ta noble vie, en la finissant ; ne laisse point ton espoir et la gloire aux champs de Philippes.
Ses lettres sont le chef-d’œuvre du genre épistolaire, et lui assurent une gloire sur laquelle on a épuisé toutes les formes de la louange.
Il nous définit la Vraie Gloire en des termes exacts et directement utiles au sujet qui l’occupe. Lecture. — La Vraie Gloire.
Synthèse : Reconnaissez, Abner, à ces traits éclatants Un Dieu tel aujourd’hui qu’il fut dans tous les temps ; Il sait, quand il lui plaît, faire éclater sa gloire, Et son peuple est toujours présent à sa mémoire. » Quoi qu’il en soit de ces diverses formes, je ne puis assez insister sur l’énumération, l’analyse, la décomposition et la recomposition des idées.
Ménas n’est pas Pompée ; Pompée sera fidèle à sa parole, généreux, tout couvert de gloire.
Ses lettres sont l’incomparable chef-d’œuvre du genre épistolaire, et lui assurent une gloire sur laquelle on a épuisé toutes les formules de la louange.
Il est le premier, il est le seul qui ait consacré à l’histoire de notre littérature un monument qu’on peut appeler national ; car nul sujet n’intéresse plus vivement notre gloire.
Le Traité de la gloire, par Sacy, ne doit pas être négligé, quoiqu’il soit écrit d’un style maniéré et trop souvent antithétique.
L’amour de Dieu excitera les cœurs pieux ; l’amour de la gloire animera des soldats ; la haine du despotisme transportera des conjurés, etc.
Les substantifs de cette espèce sont, aide (secours) ; bercail, bien-être, butin, courroux, décri (perte de réputation et de crédit) ; estime, faim, faste (vaine ostentation ; affectation de paraître avec éclat) ; gré (bonne, franche volonté), gloire (si l’on ne parle pas d’ouvrages de peinture, de sculpture, etc.) ; renommée, repos, sang, soif, sommeil, etc. […] La pratique des vertus chrétiennes rehausse la gloire des plus grands Héros.
Ou sait que Robespierre fit dédier des fêtes décadaires à l’Être suprême, à la vérité, à la justice, à la pudeur, à l’amitié, à la frugalité, à la bonne foi, à la gloire, à l’immortalité, au malheur, etc., ce qui ne l’empêchait pas de faire tomber les têtes.