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233. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »

Ceux qui suivaient Clodius se partagent ; les uns enveloppent la voiture et attaquent Milon par derrière ; les autres le croient déjà mort, et se mettent à égorger les esclaves qui arrivaient les derniers.

234. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »

On serait tenté de croire que l’essor lyrique ne peut plus s’élever au-dessus de ces dernières images : le poète sacré va prouver le contraire, et de nouveaux personnages vont figurer encore dans son poème.

235. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387

Au reste, ces quatre dernières figures, pour mieux exprimer l’intention ou le sentiment de l’écrivain, arrêtent la marche de la phrase, mais sans y jeter le désordre ; celles dont il nous reste à parler portent de plus graves atteintes à la construction ou à la syntaxe.

236. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »

Ces dernières doivent être rejetées.

237. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132

Si nous avons le front triste, c’est que nous la voyons. » « Vivez, jeunes élèves, avec la pensée de cette pente que vous descendrez comme nous Faites en sorte surtout de ne pas laisser s’éteindre dans votre âme cette espérance que la foi et la philosophie allument et qui rend visible, par delà les ombres du dernier rivage, l’aurore d’une vie immortelle. » 2.

238. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468

La parole de Jésus, fructifiant de siècle en siècle, a changé le monde, et, dans l’universel abandon, sur la croix, son dernier mot fut : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m’avez-vous délaissé1 ? 

239. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

Il faut s’armer, il faut aller exterminer jusqu’au dernier les Paunies et les blancs. […] Ne se rappellera-t-il pas les derniers conseils que Pélée, son père, lui adressait au moment de son départ pour l’armée ?

240. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68

Elle demande le crucifix sur lequel elle avait vu expirer sa belle-mère2, comme pour y recueillir les impressions de confiance et de piété que cette âme vraiment chrétienne y avait laissées avec les derniers soupirs.

241. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43

Il est ferme dans la dispute, fort comme un Turc sur ses principes, ne démord jamais de son opinion, et poursuit un raisonnement jusque dans les derniers recoins de la logique.

242. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

  Théophile Buhle, qui avait entrepris à la fin du dernier siècle une édition grecque-latine des œuvres d’Aristote, interrompue par sa mort après la publication du 5e volume, a laissé une biographie très détaillée de notre auteur accompagnée d’une étude bibliographique sur ses ouvrages, l’ordre probable de leur composition, les manuscrits qui nous en restent, etc. […] Cette édition a été réimprimée plusieurs fois, notamment en 1876, avec des additions destinées à la mettre au courant des derniers travaux de l’érudition. […] Un troisième recueil de scolies a été trouvé par Gaisford dans un manuscrit de la Bodléienne à Oxford ; mais celles-ci ne concernent que les chapitres XV et XVI du dernier livre de la Rhétorique. […] Il y a lieu, au contraire, de former des syllogismes ou des conclusions, soit d’après des arguments réduits antérieurement en syllogismes, soit par des propositions non réduites en syllogismes, mais qui ont besoin de l’être en raison de leur caractère improbable, Il arrive nécessairement que, parmi ces dernières, l’une n’est pas facile à suivre, en raison de son long développement (on suppose le cas où le juge est d’un esprit simple), et que les autres ne sont pas persuasives, comme n’étant pas puisées dans des faits reconnus ou probables, il est donc nécessaire que l’on ait recours à l’enthymème et à l’exemple, dans les questions susceptibles de solutions multiples et diverses ; — à l’exemple comme induction, et à l’enthymème comme syllogisme, — composés de termes peu nombreux et souvent moins nombreux que ceux qui constituent le syllogisme195. […] Ils tiennent à la vie surtout dans leurs derniers jours, parce que leurs désirs portent sur ce qui n’est plus et que l’on désire surtout ce qui fait défaut.

243. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440

Chantons l’auteur de la lumière Jusqu’au jour où son ordre a marqué notre fin ; Et qu’en le bénissant notre aurore dernière Se perde en un midi sans soir et sans matin2.

244. (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-

Enfin il prolonge, par une fuite inutile, sa douloureuse agonie, et ne retrouve un peu de fermeté romaine qu’à son dernier moment.

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