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164. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123

Écolier extraordinaire, il allait d’instinct vers les intelligences royales, vers les plus divins des poëtes ; Homère et Virgile furent ses maîtres, avant le jour où, la lecture de la Bible déterminant sa vocation, il reconnut en elle le livre par excellence, la source d’où son génie devait découler.

165. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

Une lecture réfléchie des livres saints, en le pénétrant de la grandeur et de la sainteté de notre religion, élèvera son âme et son génie, donnera à ses pensées et à son style la noblesse et la majesté convenables.

166. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes

Promenade, lecture et rêverie Six ans estoient coulez, et la septiesme annee Estoit presque entiere en ses pas retournee, Quand, loin d’affection, de desir et d’amour, En pure liberté je passois tout le jour, Et, franc de tout soucy qui les ames devore, Je dormois dès le soir jusqu’au poinct de l’aurore : Car, seul maistre de moy, j’allois, plein de loisir, Où le pied me portoit, conduit de mon desir, Ayant toujours ès mains, pour me servir de guide, Aristote ou Platon, ou le docte Euripide, Mes bons hostes muets qui ne faschent jamais ; Ainsi que je les prens, ainsi je les remais. […] En lui faisant honneur de cette influence salutaire, il faut reconnaître que la reproduction constante qu’il a faite de Sénèque le Tragique, dont les pièces étaient des exercices d’éloquence destinés aux déclamations des lectures publiques, a contribué à donner à la tragédie française ce caractère oratoire qui a souvent tourné à la solennité et a remplacé l’action par les analyses psychologiques, les entretiens et les monologues. […] come enfançons370, qui, lassés de l’étude, Fuient pour s’égaier les yeux d’un mêtre rude, Si fort nous admirons ses marges peinturés, Son cuir fleurdelizé et ses bors sur-dorés Que rien il ne nous chaud d’aprendre la lecture De ce texte disert où la docte Nature Enseigne aus plus grossiers qu’une Divinité Police de ces lois ceste ronde cité371.

167. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

Le Testament Titius assiste à la lecture d’un testament avec des yeux rouges et humides, et le cœur serré de la perte de celui dont il espère recueillir la succession.

168. (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100

Observez que ce n'est que dans les grandes assemblées, dans la chaire, à la tribune politique, au Palais, sur la scène, que l'on fait des gestes ; et que les lectures particulières et le discours familier peuvent se passer de gestes.

169. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332

On comprend par là combien il est difficile à un chrétien fidèle à ses devoirs, non-seulement de fréquenter les théâtres, mais encore de se permettre la lecture du plus grand nombre des drames modernes.

170. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77

La lecture de cette lettre m’a causé une grande affliction.

171. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles

Je crois cette méthode peu propre à exercer leurs facultés créatrices ; il serait préférable de ne leur faire cette lecture qu’après correction faite de leur propre composition. […] Il n’y a nulle lecture où je puisse prendre plus d’intérêt ; vous contentez ma curiosité sur tout ce que je souhaitais, et j’admire votre soin à me faire des réponses si ponctuelles, cela fait une conversation toute réglée et très délicieuse. […] Vous me faites plaisir de me rendre compte des lectures que vous faites ; mais je vous exhorte à ne pas donner toute votre attention aux poètes français : songez qu’ils ne doivent servir qu’à votre récréation, et non pas à votre véritable étude ; ainsi je souhaiterais que vous prissiez quelquefois plaisir à m’entretenir d’Horace, de Quintilien, et des autres auteurs de cette nature. […] Ce qui frappe dès l’abord en commençant la lecture de ce parallèle, c’est le ton de grandeur avec lequel l’auteur aborde son sujet.

172. (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours

Effet que produit sur l’âme d’un adolescent la lecture de ces deux écrivains. […] On trouvera dans la Méthode de composition et de style 17 le dialogue de Vanglenne et de son cousin le banquier, dont la lecture sera pour la composition de celui-ci, une excellente préparation.

173. (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.

Je romps le fil qui fermait la lettre et je donne lecture de ce qu’elle contient. […] Mais, la lecture de sa lettre le confond et l’accable ; écrasé par le témoignage de sa conscience, il devient muet tout à coup. […] Lecture est faite de sa lettre conçue à peu près dans le même esprit ; il avoue tout.

174. (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370

Avestissement. Ce Cours gradué de Versions latines n’est, comme le Cours de Thèmes latins qui l’a précédé, que la syntaxe appliquée et pour ainsi dire en action. Il en suit le développement pas à pas, sans rien donner à l’inconnu, et ne présente jamais d’autres difficultés grammaticales que celles que l’élève peut résoudre à l’aide des règles précédemment étudiées(1). Tout le monde sait que les livres latins, même les plus élémentaires, qu’on fait expliquer aux commençants, sont loin de remplir cette condition. Cornélius Népos et Phèdre n’ont pas pris soin de graduer les difficultés de leur texte conformément à l’ordre de Lhomond ou de tout autre grammairien.

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