J’ai reçu, immédiatement après, la note de son ministre du 1er octobre. […] Si, dans sa note, elle m’eût demandé des choses possibles, je les lui eusse accordées ; elle a demandé mon déshonneur2, elle devait être certaine de ma réponse.
(Note de Lhomond.)
Quant aux notes, elles ont eu principalement pour objet d’épargner la peine d’autrui, sans faire valoir la nôtre.
Quant aux notes, elles ont eu principalement pour objet d’épargner la peine d’autrui, sans faire valoir la nôtre.
Cicéron, qui applique souvent le mot suavitas au style d’Aristote (voir Thurot, ouvrage cité, p. 273, note 1), est meilleur critique lorsqu’il écrit : Quis Aristotele nervosior, Theophrasto dulcior ? […] Gros, etc., avec des notes et un index des morceaux parallèles de Cicéron et de Quintilien (Paris, Bobée, in-8º).
(Note de Lhomond.) […] (Note de Lhomond.)
Voyez la Note B, à la fin du volume.
. — Cela est vrai, monsieur, reprit le bon vieillard, mais il n’était pas à moi. » Études de la nature (notes de l’auteur).
(Note de Bossuet.) […] Deshayes, maître d’hôtel du roi Henri IV, il est vrai, l’Europe ne pouvait avoir aucune mort plus lamentable que celle du grand Henri IV. » Note de M. […] (Note de M.
Notes. […] Nous expliquons, dans la note suivante, les raisons qui nous ont fait adopter ce changement. Mais, pour ceux qui tiendraient absolument à la leçon vulgaire, nous rétablissons dans la même note le texte de l’édition de Quicherat.