(Voltaire, Correspondance générale.) […] (Correspondance générale 1). […] Fermier général, amphitryon des beaux esprits. […] Ce marchand de Francfort se croyait alors un général prussien : il commandait douze hommes de la ville dans cette grande affaire, avec toute l’importance et la grandeur convenables.
Le vers est une de ces formes, et la plus générale ; mais il n’est pas la seule, il n’appartient pas rigoureusement à l’essence de l’art. […] Depuis, l’hiatus a été banni des vers par une règle peut-être trop générale et trop sévère. […] La règle générale de l’hiatus admet cependant quelques exceptions. […] En règle générale, les vers français ne souffrent pas l’enjambement, parce que, dit La Harpe, il est contraire au génie de notre langue.
Une règle générale qui n’admet pas d’exception, c’est d’élever sensiblement la voix sur les mots qui représentent une idée importante, un sentiment vif et passionné. […] La dissipation fut entière et la dispersion générale. […] Il faut avouer que tout le monde presque conspirait contre le bien général. […] On conçoit qu’un terrain qui n’offre ni chaînes de montagnes, ni rivières, ni vallées étendues, ni même une pente générale, doit être comme une sorte de labyrinthe. […] Du nom de dictateur, du nom de général, Qu’importe, si des deux le pouvoir est égal ?
Une définition présente une idée générale, qui suppose des idées particulières ; et l’enfant, n’ayant pas encore acquis ces idées particulières, ne peut entendre la définition.
Les anciens comprenaient sous le titre général de poésie pastorale, l’églogue et l’idylle, et n’en faisaient pas deux espèces particulières. […] Pour que la satire soit un genre d’écrire vraiment ; honnête et recommandable, il faut qu’elle soit générale et réglée par les bienséances. […] L’exemple suivant, pris au hasard dans les Satires de Boileau, fera voir de quelle manière le poète satirique doit combattre les vices généraux de la société. […] Ainsi l’on peut en distinguer deux espèces générales. […] Tantôt ce sont des vérités générales qu’il présente subitement, ornées de toutes les beautés poétiques.
7° L'induction est un argument par lequel l'orateur tire de l'énumération des parties une conclusion générale ou principale. […] Les lieux communs ou arguments généraux sont des sources où l'orateur peut puiser pour prouver ce qui est en question. […] Des qualités générales du style. […] Quelles sont les qualités générales que doit avoir le style ? […] L'histoire est générale ou particulière ; l'histoire générale embrasse les événements du monde connu ; l'histoire particulière ne parle que de ceux d'un royaume, d'une province, etc.
Ces choses n’étant point des parties nécessaires ou vraisemblables, Homère s’est borné au détail d’une seule action telle que la présente l’Odyssée » Quant au précepte général qui fait le sujet de ce chapitre, on peut voir dans le Tasse (Discours IIe sur l’Art poétique, et Lettres poétiques, 2 juin, 15 juillet et 15 octobre 1575) combien ce grand génie se préoccupe de l’unité épique et de l’autorité d’Aristote sur cette question.
La vraie satire attaque les vices généraux de la-société, frappe le ridicule sans avilir les personnes, flétrit le mal, le préjugé, l’erreur, sans sortir des bornes des convenances, sans blesser le goût ni la pudeur.
Mais la connaissance générale des doctrines et de la langue philosophique d’Aristote s’est fort perfectionnée, depuis l’édition de Bekker, par des travaux comme les grands Index de Bonitz et de Heitz, par l’édition qui fait partie de la Bibliothèque grecque-latine de Firmin Didot, par beaucoup d’éditions et traductions spéciales des ouvrages du Stagirite.
On voit que ce mot avait, au temps d’Aristote, un sens plus général que celui que les rhéteurs lui ont donné dans la suite.