/ 167
59. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IX. De l’élégie. »

Malherbe, La Fontaine, Gilbert, A. 

60. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -

Tout le monde connaît la fable de La Fontaine ; elle a fait oublier celle-ci.

61. (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique

La disgrâce mémorable du surintendant Fouquet, ce premier acte de la toute-puissance de Louis XIV émancipé par la mort de Mazarin, a enrichi notre littérature de trois excellentes productions : les lettres de madame de Sévigné qui renferment la relation émue de tous les incidents de son procès, l’Épître aux nymphes de Vaux où La Fontaine a pleuré son malheur, et sa défense par Pellisson.

62. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168

Sur ce poëte, qui a son importance littéraire, « parce qu’il est comme un anneau qui lie, dans notre histoire de la poésie, deux hommes de races très-diverses, Malherbe et La Fontaine », on peut voir un article plein d’intérêt de M.

63. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Rochefoucauld 1613-1680 » pp. 18-21

En lisant cette fantaisie, on songe à La Fontaine ; mais le fabuliste n’a pas l’humeur aussi noire que le moraliste.

64. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217

Ce qu’est leur cristal aux fontaines, un verre à nos pastels1, leur vapeur aux paysages, la pudeur l’est à la beauté et à nos moindres agréments.

65. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »

La Fontaine a défini la Cour d’une manière piquante et précise :         Je définis la cour un pays où les gens,         Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents,         Sont ce qu’il plaît aux gens, ou s’ils ne peuvent l’être,         Tâchent au moins de le paraître : Peuple caméléon, peuple singe du maître. […] La Fontaine, dans Philémon et Baucis, voulant prouver que ni l’or ni la grandeur ne nous rendent heureux, met en opposition le sort de l’ambitieux et celui du sage : Ni l’or ni la grandeur ne nous rendent heureux : Ces deux divinités n’accordent à nos vœux Que des biens peu certains, qu’un plaisir peu tranquille ; Des soucis dévorants c’est l’éternel asile, Véritables vautours que le fils de Japet Représente, enchaîné sur son triste sommet, L’humble toit est exempt d’un tribut si funeste, Le sage y vit en paix et méprise le reste ; Content de ces douceurs errant parmi les bois, Il regarde à ses pieds les favoris des rois ; Il lit au front de ceux qu’un vain luxe environne Que la fortune vend ce qu’on croit qu’elle donne. […] On pourrait appliquer le même raisonnement à ces vers de La Fontaine : Les délicats sont malheureux : Rien ne saurait les satisfaire.

66. (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose

Je vous dis ceci afin que vous regrettiez un jour si heureux que vous avez perdu à la ville, et que vous descendiez35 quelquefois de votre Angoulême, où vous allez de pair avec nos tours et nos clochers, pour venir recevoir les plaisirs des anciens rois, qui se désaltéraient dans les fontaines et se nourrissaient de ce qui tombe des arbres. […] Que si vous craignez les hivers du septentrion, dites-moi quelles ombres, quel éventail, quelles fontaines vous pourraient si bien préserver à Rome des incommodités de la chaleur72, comme un poêle et un grand feu vous exempteront ici d’avoir froid. […] Sur la campagne et la Fontaine A Madame de Grignan A Livry, mercredi 29 avril. […] Mais n’avez-vous point trouvé jolies les cinq ou six fables de la Fontaine qui sont dans un des tomes que je vous ai envoyés ? […] C’est pour son royal élève qu’il composa ces fables ingénieuses qui se soutiennent dans le voisinage de la Fontaine ; ces Dialogues des Morts où l’histoire est morale sans nous ennuyer ; enfin le Télémaque, ce roman où un paganisme épuré se mêle à un christianisme embelli de toutes les grâces de la mythologie.

67. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »

Peut-on parler avec intelligence de l’apologue sans dire un mot d’Ésope, de Phèdre, de La Fontaine ?

68. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250

« Il faut réjouir les vieillards. » Relisez la fable de La Fontaine sur le vieillard et les trois jeunes hommes.

/ 167