Ajoutez que la profusion des faveurs dont il ne cessa d’être comblé par la cour formait un contraste assez choquant avec le discrédit où il tomba auprès du public vers la fin de sa vie.
C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent, Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent : Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu, Que le début, la fin, répondent au milieu ; Que d’un art délicat les pièces assorties N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ; Que jamais du sujet le discours s’écartant N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
Pour moi, je m’en veux justifier le plus qu’il me sera possible, et je les dauberai tant en toutes rencontres, qu’à la fin ils se rendront sages.
Faites donc comme cet homme, tirez les mêmes conséquences, et songez que cette même ville a été autrefois baignée du sang d’un nombre infini de martyrs ; qu’aux premiers siècles toutes les intrigues du conclave se terminaient à choisir entre les prêtres celui qui paraissait avoir le plus de zèle et de force pour soutenir le martyre ; qu’il y eut trente-sept papes qui le souffrirent l’un après l’autre, sans que la certitude de cette fin leur fît fuir ni refuser cette place où la mort était attachée, et quelle mort !
A-t-il jusqu’à la fin soutenu sa fierté ?
Nos femmes et nos petits enfants languissent dans nos maisons à nous attendre, et nous, nous ne pouvons conduire à bonne fin l’entreprise qui nous a amenés ici. […] Mais pour un peuple fin et délié comme les Grecs, la ruse est un don divin qui se confond avec la sagesse.
C’est l’argument le plus persuasif ; elle l’a gardé pour la fin.
Venez compter vos fils, vos amants et vos frères ; Venez sur ces débris disputer aux vautours L’espoir de vos vieux ans, le fruit de vos amours… Que de larmes sans fin sur eux vont se répandre !
A Chantilly, qu’on appelait l’écueil des mauvais ouvrages, protégé par le crédit d’un prince qui avait le goût de la fine raillerie, il put faire provision d’expérience, tracer impunément de malins portraits, et se vouer à un genre périlleux, sans craindre les orages.
Toutes les secondes personnes du singulier ont une s à la fin.