Je n’en vivrais, monsieur, que trop honnêtement, Mais vivre sans plaider, est-ce contentement ? […] Seuls nous ne pourrions jamais écarter nos misères, mais Dieu leur a donné une mesure telle qu’elles n’arrêtent jamais ceux qui vivent dans la crainte de Dieu, qui s’aiment entre eux et se soulagent mutuellement. […] Vient ensuite la menace déguisée sous le proverbe : qui vivra, verra.