Puis, croyez aux discours de ces vieilles personnes Qui trompent la jeunesse ! […] Souilles plus étouffés qu’un soupir de la nuit, Qui faisaient, par instants, sous les fermoirs de cuivre, Frissonner vaguement les pages du vieux livre !
Puis, croyez aux discours de ces vieilles personnes Qui trompent la jeunesse ! […] Souilles plus étouffés qu’un soupir de la nuit, Qui faisaient, par instants, sous les fermoirs de cuivre, Frissonner vaguement les pages du vieux livre !