Mais plutôt le perfide a bien d’autres pensées : Triomphant dans le temple, il ne s’informe pas Si l’on souhaite ailleurs sa vie ou son trépas. […] Madame, c’en est fait, et vous êtes servie : Pyrrhus rend à l’autel son infidèle vie. […] avec quelle furie As-tu tranché le cours d’une si belle vie ? […] pour une ingrate à qui je le promets, Qui même, s’il ne meurt, ne me verra jamais, Dont j’épouse la rage : et, quand je l’ai servie, Elle me redemande et son sang et sa vie ! […] On lira aussi avec intérêt, sur la vie domestique et sur les travaux de ce poëte, des Mémoires que nous devons au second de ses fils, à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés avec plus de piété que d’exactitude.