Ce sont elles qui donnent à la poésie et à l’éloquence la vie, l’âme, comme une espèce d’action et de mouvement. […] Au VIe livre de l’Énéide, on place le corps inanimé de Misène sur un lit funèbre, etc. […] lorsque vous voyez périr votre patrie, Pour quelque chose, Esther, vous comptez votre vie ? […] votre vie, Esther, est-elle à vous ? […] En vain la vie est dure, et la mort est amère ; Qui peut douter sur son tombeau ?