Mais en tuant sa sœur, il tombe dans un nouveau péril qui lui est particulier, puisqu’il n’y va que de sa vie. […] Veux-tu toute ta vie offenser la grammaire ? […] Les mœurs de la vie bourgeoise y sont peintes avec toutes les grâces imaginables. […] Pourroit-on craindre pour un scélérat menacé de perdre une vie si funeste aux gens de bien ? […] Je ne m’en suis vengé qu’en te donnant la vie.