Je prie Votre Majesté de lire cette lettre avec les mêmes sentiments qui me l’ont fait écrire, et d’être persuadée qu’après le bonheur et les intérêts du peuple français, rien ne m’intéresse davantage que la prospérité de la nation guerrière dont depuis huit ans j’admire le courage et les vertus militaires1. […] Les grandes vues, les grandes vertus sont des exceptions. […] En toutes choses, il faut traiter les hommes de la sorte, et leur supposer les vertus qu’on veut leur inspirer1.