Paulin, par ses rares vertus, s’attira l’affection et le respect de son nouveau maître. […] Le soir du même jour ils sont parfaitement reçus dans la maison d’un homme plein de vertus et de sagesse. […] À l’entrée du premier de ces chemins est la Mollesse ; à l’entrée de l’autre est la Vertu. […] Une douce conformité de sentiments avait donné naissance à leur amitié, et la pratique des plus nobles vertus l’avait cimentée. En ce temps-là, Syracuse était gouvernée par un despote cruel, Denys, à qui toute vertu faisait ombrage.