— Dès que nous l’aurons prise, Il ne faut qu’un bon vent, et Carthage est conquise. […] Son faible trône est sur l’aile des Songes ; Les Vents légers soutiennent ses autels. […] Il peuple leurs déserts d’astres étincelants ; Les eaux autour de lui demeurent suspendues ; Il foule aux pieds les nues Et marche sur les vents. […] Il anima le soleil, les astres, les fleuves, les montagnes, les vents. […] mon vaisseau dans son cours ; Moins de vents orageux tourmentent le Bosphore Que la mer terrible où je cours.