et ma triste voix était réservée à ce déplorable ministère ! […] Sans doute ce triste spectacle des vanités humaines nous imposait ; et l’espérance publique, frustrée tout à coup par la mort de cette princesse, nous poussait trop loin. […] encore ce reste, tel quel, va-t-il disparaître : cette ombre de gloire va s’évanouir, et nous l’allons voir dépouillée même de cette triste décoration.