Il en fut du moins toujours traité comme un fils chéri qui lui dut sa fortune et sa vie. […] Nous devons à ce ministre la Lorraine et le duché de Bar, qui, par le traité de 1738, furent réversibles à la France après la mort du roi Stanislas.
Il en fut du moins toujours traité comme un fils chéri qui lui dut sa fortune et sa vie. […] Nous devons à ce ministre la Lorraine et le duché de Bar, qui, par le traité de 1738, furent réversibles à la France après la mort du roi Stanislas.