L’antithèse est alors aussi bien placée dans la pompe d’une tragédie que dans la simplicité d’une lettre. […] … et par dessus tout cette scène 3 de l’acte II, où Corneille a donné tout le grandiose de la tragédie à un caractère comique que la comédie elle-même semble avoir craint de toucher après lui, le railleur.