Mais un excès opposé à la langueur et à la sécheresse serait d’y employer le ton et le langage de l’épopée, de l’ode et de la tragédie. […] Elle tient de la tragédie : Grande Sophocleo carmen bacchatur hiatu. […] L’héroïde est susceptible de tous les sentiments qui animent la tragédie. […] L’unité n’est pas aussi sévèrement prescrite pour le conte que pour les autres compositions poétiques, comme la tragédie, la comédie, l’épopée, la fable, etc.